Ce fut une bien belle édition, de bruyères en sous-bois, bien servie par un ciel d’azur. À l’arrière (c’est pas du baratin, mais du vécu), les coureurs (euses) parlaient beaucoup entre eux, signe qu’ils étaient, malgré l’âpreté et la longueur du charcu’trail, contents (heureux ?) Et un beau vainqueur (Benoît Galand) sympathique dès le retrait de son dossard. Les organisateurs, Cyrille Jacquemin et Éric Cambon en tête, ont su fédérer, innover, accueillir dans la tradition des Monts de Lacaune. Bravo à eux, à leurs nombreux aides de camp, et à tous les coureurs venus gambader sur « nos » sommets.