Courses Adultes

ALBI RUN URBAIN

Brassacatrail

Compte rendu BRASSACATRAIL 2019

 

Nous voici en ce dimanche des Rameaux sur les terres du diocèse de Brassac. Pèlerinage traditionnel dans cette paroisse où nous accueille le révérend Maxime Durand, accompagné de ses assistants.

Donc tous ces frères et soeurs réunis pour un parcours qui pour certains sera un chemin de croix (notamment du coté du couvent d’Ouillats), sont conviés à écouter la parole du référend.

Le sermon sur l’estrade, reprend entre autre, les éléments de la charte du randonneur « repenti » avec la prière de respecter les lieux qui vont s’offir à nous…Il faut savoir que parmi ces

paroissiens qui ont fait le déplacement, tous ne sont pas des enfants de choeur et il est bon, parfois, de rappeler la bonne parole. Cette cérémonie se ponctue par le « je vous salue » bien tous,

bonne course. Une musique profane clôture cette messe dominicale.

Au départ on retrouve, tout devant, les plus dévots au chronomètre, derrière suivent ceux qui sont venus pour partager une expérience personnelle, fraternelle, dans la joie et la bonne humeur.

Sur le premier raidillon, aucun propos « peu catholique » (sur le positionnement du départ) ne seront échangés.C’est ainsi que la procession prend son rythme dans un silence de cathédrale.

Pour certains, la montée vers le Puech Margot (point culminant du circuit) sera assimilée au Golgotha; pour d’autres ce sera la délivrance, car aprés le passage de la « Croix de St Julien » on

aperçoit Brassac…L’arrivée promise est enfin là…Les réjouissances du retour du peuple des traileurs peuvent commencer.

A+ Marc…Pasteur pour l’occasion..

 

RESULTATS

15,5km   254 Classés                                      9km   103 Classés                                   29km  239Classés                                       Relais     43 Equipes Classées

1   JORISSEN  Abel     1h31’53″ »  1 ESM          1  DAUBANTON Benoit   53’28 »   1SEM          1 LECERF Valentin  2h58’00   1ESM           1 SANCHEZ Theo – SANCHEZ Emilien 3h03’07 »

21  RASCOL     Tristan 1h52’38 »   15SEM         18 DEVIC  Tatiana      1h12’24 »   2SEF       111 SOCCOL Laurent 4h37’25 »  36V1M          2 RICARD Thibaud – AMALRIC Bastien 3h08’23 »

25  FABRE   Hugo        1h54’12 »   1ESM                                                                         199 REQUIS Mathilde 5h13’19 »  1ESF

38  CAMBOS  Augustin 1h58’19 »   24SEM

55  TICHIT  Christophe 2h02’49 »  13V1M

66  FABRE   Marc         2h06’53 »   1V3M

76  VALETTE  Anthony  2h09’49 »   38SEM

Ronde Aiguefondaise

Compte-rendu Ronde Aiguefondaise- Piste du Dolmen

 

Ronde Aiguefondaise- Piste du Dolmen…Que choisir?

Tout dans la vie est une affaire de choix, du premier au dernier jour (chêne ou sapin).

Mais que choisir?

Sucré ou salé – Fromage ou dessert – L’aile ou la cuisse – Une brune ou une blonde (la bière chez Ricou!)….

Ce dimanche 07 avril, la moitié environ des inscriptions ont été effectuées dans la dernière heure (88/192)…Le « trailer » serait-il un sportif indécis face au choix, assaillit par le doute?

8 ou 20 km?

La plupart des suffrages se portent sur le 8 km aprés avoir controlé les listes des inscrits et avec des justifications suspectes…J’ai pu dormir une heure de plus, j’ ai un problème musculaire,

j’ai un repas de famille, je me préserve pour le brassacatrail, je m’entraine pour l’aubrac…

Résultat: sur le 8 km 104 inscrits – sur le 20 km 88 inscrits

 

Piste du Dolmen  20 km                                                                       Ronde Aiguefondaise  8 Km

 

1 – BARTHES Romain   1H36’06 »  1SEM                                        1 – MAS  Nicolas         34’35 »   1SEM

2 – SOCCOL Laurent     1H39’25 »  1V1M                                       7 – FABRE Hugo          38’26 »   1ESM

59 – GIL Françis           2H22’30 »  2V3M                                       8 – SUC Jean-Philippe  38’27 »  1V2M

63 – DEVIC Tatiana      2H25’37 »  2SEF                                       31 – FABRE Marc           44’39 » 2V3M

 

Et toujours pour finir l’ ultime choix…Le demi…Nature ou Pêche ?

 

A+ Marc

Trail de Nuces

Dimanche 24 Mars, avait lieu le travail de Nuces, où deux formats étaient proposés : un 17 km et un 10km.  C’est sur ce format de 10 km avec 280m de dénivelé positif que j’ai décidé de m’aligner. Il fait chaud, le départ est donné à 10h30. Coté classement, une troisième place, loin derrière le vainqueur du jour Nicolas Cantagrel, récent 13ème(et 3ème français !) de la verticale de la tour Eiffel.

1 : Nicolas CANTAGREL : 38’56’’

2 : Vincent BOUZAT : 40’04’’

3 : Bastien AMALRIC : 41’45

4 : Emmanuel SALAT : 42’40’’

203 Arrivants.

BASTIEN

10 km de CASTRES

Chaque seconde compte…

On le sait, les 10km de Castres, c’est pour faire un bon chrono. Cette course a également le label FFA, qualificative pour les championnats de France (et fait accessoirement partie du Challenge du Haut Languedoc). Il y a très exactement 68m de dénivelé positif, autant dire que les côtes sont assez douces.

Départ du relais et du 10km solo à 20H30, toujours très rapide. Un petit vent nous chatouille mais au moins pas de pluie. Nos 3 tours se font en plein centre ville, ce qui permet aux piétons (et même aux voitures) d’encourager tout le monde et de ne pas s’ennuyer.

Qui dit tours, dit que les meilleurs arrivent à doubler les derniers ; d’autant plus que qu’avec les relais, on ne sait plus qui fait quoi !

Arrivée de ce « footing » pour tout le monde et retour chez soi dans la nuit.

A noter la première place en équipe de Maxime Fabre et le super chrono du jeune Guilhem Rouquette.

Résultat :

Solo : 614 coureurs

Bastien AMALRIC :                         36’40’’ (17ème Sénior)

Guilhem ROUQUETTE :                                36’49’’ (3ème Junior)

Antoine AZAM :                              38’37’’ (3ème Cadet)

Christophe TICHIT :                        40’03’’ (19ème V1)

Jimmy ROUQUETTE :                     40’18’’ (50ème Sénior)

Hugo FABRE :                                    40’29’’ (3ème Espoir)

Anthony DI RINALDO :                  40’34’’ (6ème Junior)

Jérôme GASPAROUX :                  43’32’’ (46ème V1)

Eva NEGRE :                                      46’35’’ (2ème Junior)

Marc FABRE :                                    47’30’’ (8ème V3)

Francis GIL :                                       50’34’’ (11ème V3)

Christine ROUSSET :                       51’55’’ (16ème V1)

Véronique CALAS :                         54’08’’ (26ème V1)

 

Relais : 98 équipes

1er : Crochets Pezet Grillage en 34’45’’

Maxime Fabre : 9’51’’ – 12’28’’ – 12’26’’

19ème : Les Gens bons contents en 42’44’’ (6ème par catégorie)

Silvère : 13’04’’ – Tatiana : 15’04’’ – Eric : 14’30’’ (la distance fluctue légèrement entre les 3 tours)

 

Hugo

À Montauban, montre-leur qui tu es !

Marathon de Montauban, édition 12. Jusque là, André Suc n’avait pas une réputation de fier-à-bras. Bien au contraire : un tantinet effacé. Oui mais ça, c’était avant. Avant le 31 mars 2019.

Un excellent entraînement

Dans une logique de préparation pour les 24 heures de Brive, il est des 300 inscrits solo qui repartent pour un deuxième tour. Il est venu pour un entraînement de qualité, autour de 4 h 15 mn. Deux heures plus tôt, il cherchait « son » meneur d’allure. Flûte, il n’y en a pas pour ce délai… Bon, voyons ce qui reste… Du jaune ? Non, j’en veux pas… Ah tiens, la plume verte. Et c’est du… 4 h 00. Bon ça fera. Parti lentement, il a bien vite rejoint les plumes vertes, et gravité à quelques décamètres devant. À son propre train, fluctuant selon la forme du moment. Puis s’est fait rejoindre par les plumes vertes et une dizaine d’athlètes ventouses. Tranquille : poursuivre son régime de croisière. Enfin, km 23 ou 24, il découvre un endroit propice à une escale technique pour un délestage solide (qu’en termes élégants ces choses-là sont dites !). Peut-être une minute et demie de pause, et les plumes sont déjà à 300 mètres ou plus…

À l’abordage !

Mais pas décidé à se faire plumer le vieux (M3 bien mûr) Suc : « Montre-leur qui tu es ! ».Comme un hymne guerrier qui revient à fréquence régulière dans sa tête. Ne pas s’emballer (ça se paye). Mais grignoter (ça, ça paye). S’appliquer avec le regard fixé sur la meilleure trajectoire pour esquiver les ronds-points de cette interminable route de Paris : celle-ci étend sa morne rectitude bordée d’entrepôts commerciaux aux logos agressifs – signe d’une société ultra-consumériste – jusqu’au centre ville. De temps en temps, lever la tête. « Ouais, c’est pas gagné » ou « Ah ! Y a de l’espoir ». Après le magnifique ensemble de la place Nationale (aïe, ces pavés, ou plutôt ces galets, dressés pour s’enfoncer dans mes trop larges panards coincés dans des baskets pour pieds d’intellos), c’est la descente vers un large boulevard pris en aller-retour avant de s’infiltrer dans les rues commerçantes.  C’est jouable… C’est fait vers le 30ème. Bon, ne pas rester coincé dans ce petit peloton car ensuite, vers le Tarn, il y a des passages serrés (à deux de front), du gravillon et quelques moutonnements de terrain. Allons, restons calme, pas d’euphorie : la fin n’est pas si simple. Quand même, juste devant , cette dizaine de coureurs,euses, égrenés sur 200 mètres, ça fait envie… « Allez, mes chers et chères, j’arrive : vous êtes morts ! » Il y aura du vrai dans cet objectif. Mais aussi du faux. Et les plumitifs reviennent. Bon, là ce sera la roue de secours à partir du km 37 : fixer le mollet d’un (ou une de préférence) et ne plus le lâcher. Mordre oui… mais dans le gravier de ces longues promenades vertes, puis dans les virages proches des ponts.

Ultimes cartouches

Et celui-là avec son maillot blanc, il ne serait pas M3 ? Faut que je le laisse dans ses plumes : démarrage discret au km 41. Mais à la faveur d’un passage de part et d’autre de barrières, je vois un autre individu : maillot bleu, cheveux blancs, visage buriné et mollet flasque. Un potentiel M3 ? Cent mètres devant, c’est beaucoup, non ? Et si c’était celui-là qui m’empêchait de faire un podium ? Qu’est-ce que je risque ?

Allez, à l’abordage ! Arrivée à 700 mètres et encore 60 environ à combler. Allez, 40 mètres maintenant avant qu’il ne disparaisse dans le virage conduisant au sas d’arrivée, à 400 mètres de la ligne. Fonce, et tant pis s’il contre. Ah ! Tout est fini : une demi-douzaine de maillots bleus l’attendaient pour l’accompagner sous la banderole. Et voilà que le maillot blanc a quitté ses plumes, et se la radine. Oups, mais il accélère. Parce que tu crois que je vais me laisser faire ? Si tu tournes la tête, tu le verras mon dossard : 36. Comme le Quai des orfèvres. Mais mon poulet, dépêche-toi : parce que, hop, là, c’est trop tard… Et vingt mètres plus loin… « Quoi, il revient ? » Moi aussi, j’en remets une couche. Et la force restera avec moi. Pour la conquête de l’inutile : après la ligne, il me confesse qu’il n’est « que » M2. Quant au maillot bleu, lui oui, il était M3. Il me gagne de 16 secondes, et me relègue ainsi dans la deuxième moitié du peloton des M3, à une modeste onzième place. Toutes ces remarques quelque peu martiales ne sont évidemment pas sorties de ma tête. Et le commentateur (Philippe Aubert) a pu dire un mot sur la course de Murat. Sera-t-il entendu par les 2600 finishers des 10 km et semi ?

Une organisation top

Même si ma belle-soeur Jacquie – cette… ménagère de 75 ans qu’elle me fait dire ! – n’a pas daigné sortir sur le seuil de son pavillon de banlieue, qu’est-ce qu’on s’amuse à Montauban : public, orchestre, bénévoles, dotation, aire de départ (parc) avec son marché… tout et tous sont grandioses. Il mérite bien mieux que ces 300 marathoniens solo. Sans doute, les vrais athlètes de Lacaune, ceux qui pourront aggriper la qualif’ pour les France de cross, vont se régaler ici-même, dans un peu moins d’un an.

Marathon

1er Cyril Poussou (Arpajon) en 2h32’52 »

165. André Suc en 3h59’14 » (11 M3 sur 19)

275 arrivants.

 

Ultra du bout du cirque

Ultra du bout du cirque 100km 4200d+

Vendredi matin , je prend le départ , avec ma fidèle assistante , pour Le Vigan . Nous prenons possession de notre gîte et après une petite sieste direction le retrait des dossards . A noter , un joli sweat offert par l’organisation. Ça change des tours de cou et surtout enfin une dotation utile. Retour au gîte, j’avale un plat de pâtes et 20h au lit . Et oui ,demain ça va piquer avec un réveil à 2h30 . Après une courte nuit , c’est déjà l’heure du réveil  . Un bon petit dej et go pour le départ. Après une préparation de 1 mois et demi, je ne sais pas du tout ce que ça va donner et si la cheville va tenir sur la distance. 4h top départ donnait par notre Salvetois  Stéphane Tailhades.  Les premiers kilomètres sont vraiment très durs pour moi . J’ai les mollets qui chauffent dés la première ascension et je me dis que la journée va être longue si tout ne rentre pas dans l’ordre . Premier ravito au km 17 , mon assistante n’est pas là. Je l’appelle pour savoir où elle se trouve « j’arrive  » « Je suis sur la route « . « Bon ,tu peux faire demi-tour  » on se verra au prochain « . Je repars et les jambes commencent à revenir petit à petit . Le lever du jour me redonne des forces et le plaisir avec . J’avance tranquillement au milieu de magnifiques paysages. Deuxième ravito km 37 , l’assistante n’est toujours pas là. Je mange un peu et j’attends quelques minutes.Toujours personne . « T’es où ? »  « Quoi ?tu es déjà arrivé ? » . Je rale un peu évidemment « Sois là au prochain au moins « . Malgré un beau soleil, il fait quand même très frais sur les plateaux. Le vent est bien présent et il me tarde vraiment de mettre des vêtements secs . On alterne monotraces et pistes puis une longue descente jusqu’au troisième ravito km 51 . Miracle, elle est là . Je peux me changer et manger les petits plats qu’elle m’a préparé. Il faut bien ça pour une ascension annoncée comme terrible. Finalement, elle se passera plutôt bien .Puis, vient une partie roulante sur le plateau . Au passage un autre ravito de manqué par mon assistante. Enfin , on peut apercevoir le magnifique cirque de Navacelles . Une superbe descente qui nous emmène au coeur du cirque. La remontée sera beaucoup moins agréable  , ça commence à tirer . Je suis beaucoup moins lucide et je me perds 2 fois malgré un très bon balisage. J’arrive au ravito km 78 avec les cuisses déchiquetées.  Cette fois Sandrine  est là, 2 ravitos sur 5 c’est un bon ratio . Bref , les 22 derniers kilomètres vont être interminables et douloureux. Plus rien ne répond, le manque d’entraînement se fait sentir. J’arrive finalement en 17h52 et en 115 ème position sur 200 partants . Finalement, ce n’est  pas trop mal pour une reprise . J’ai bien mérité ma soupe aux choux. En conclusion, c’est une très belle course avec une superbe organisation et une ambiance très familiale. Encore merci à Sandrine, pas facile l’assistance !😁 Fier d’avoir représenter le club .

Finale de cross à Vittel

2 Lacaunais avaient fait le déplacement à Vittel, dimanche 10 mars, à l’occasion de la finale du championnat de France de cross. Des conditions difficiles pour cette édition, vent, froid et pluie, ce qui n’a pas empéché Maxime Fabre de réaliser une belle course. Il terminera à la 115ème place sur un effectif de 392 coureurs classés. Petite déception, en revanche, pour Guilhem Rouquette, peu à l’aise sur terrain boueux, il finira à la 310ème place. Félicitations à nos 2 jeunes qui ont reprèsenté l’athlétic club lacaunais sur le plan national. Rendez-vous est pris pour la saison prochaine à Montauban où se déroulera  l’édition 2020 de la finale du championnat de France de cross

Trail de Bellegarde

En ce beau et ensoleillé dimanche matin à lieu le trail de Bellegarde. Non je rigole, on recommence. Donc après avoir affronter le brouillard sur la route et sous une fine bruine les Lacaunais sont au départ de ce 16km. Au départ 70 concurrents. Celui ci est donné avec un peu de retard ce qui inquiète Christophe qui va être obligé de courir encore plus vite pour être à l’heure pour arbitrer cette après-midi. Un parcours roulant sur des chemins et quelque monotrace dans les sous bois.

Podium masculin : Capus Sebastien en 1h02, Barthes Romain 1:05:08 et Camps Yohan 1:05:14
Christophe arrive à temps pour le match en finissant 15eme 1h17
Ricou arrive aussi à temps mais lui pour la bière en 1h23, 23eme et 3eM2
Tatiana 35eme en 1h30 et 3eme féminine
Domy 49eme en 1h38 et 2eme M1

35,35,238,247.408539

dav

BLACK MOUNTAIN TRAIL

Cap Horn…Non, cap Nore pour l’équipage lacaunais en ce samedi 02 mars.

Le port d’attache est St Amans Soult. L’itinéraire de la « croisière » (qui ne va pas s’amuser) propose pour cette odyssée deux ravitaillements (cabane des chasseurs à l’aller-portail de Nore au retour)

Ravitaillements qui sont des ilots où quelques « sirènes » en tenue kaki invitent à un arrêt prolongé afin de se détendre et échanger …(quelqus mots)…

Pour la flotille lacaunaise pas question de faire relache, se laisser embarquer dans ce havre de douceurs,sourires,charme, chaleur et ainsi faillir à la mission.

Foncer dans cet océan de chênes et de hêtres tel est la devise ACL

Le départ est donné par vagues et c’est ainsi que la déferlante de « pécheurs de temps scratch » va affronter les « récifs » de la montagne sous la pluie,le brouillard, le vent.

Attention de ne pas s’échouer dans les « mare-cages » du plateau du Pic de Nore et eviter les ornières boueuses et parfois profondes.

La descente infernale arrive enfin…9km pour atteindre le phare de l’arrivée…Accueil sur les quais avec  soupe et denrées traditionnelles (bougette-melsat-saucisse…) et c’est l’heure de mettre les voiles…Au Revoir Saint Amans Soult…

Marc ….

 

Les Résultats

 

OBJECTIF NORE 18KM  702/824 classés

 

1 RODRIGUEZ Julien   1:32:23    1 SEH

29 FABRE  Hugo         1:49:46    3 ESH

69 RASCOL  Tristan     1:58:37   44 SEH

88 TICHIT Christophe  2:02:28   16 M1H

117 VALETTE Anthony 2:05:59   71 SEH

119 FABRE  Marc        2:06″05    2M3H

 

BLACK RACE 33KM    708/820 classés

 

1    ROUX  Fleury         3:01:17    1 ESH

12  SOCCOL  Laurent   3:35:32    3 M1H

380 REQUIS  Mathilde  5:14:11    1 ESF

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