Courses Adultes

Semi-marathon de Toulouse

Excellente prestation de Mégane qui remporte la catégorie espoirs chez les filles lors du semi-marathon de Toulouse. Elle termine l’épreuve en 1h49 devant sa maman Marie-Odile 2h09 mais derrière son papa Françis 1h44. Bravo à la famille Gil.

Un autre licencié lacaunais a brillé ce jour-là il s’agit d’Emmanuel. En effet il améliore son temps de référence de plus de 5mn, il finit 363é/1494 arrivants en 1h40m. Félicitations.

Prochain objectif commun pour tous les quatre le marathon de Toulouse prévu le 25 Octobre prochain.

MARATHON DU MEDOC

Céline est rentrer dans la cour des grands. Samedi matin elle  a participé à son premier marathon, et non des moindre, celui du Médoc. Résistant à la tentation des ravitaillements gargantuesques et « vinicoles » elle trouva le parcours superbe, trés festif avec un public chaleureux. Bien jusqu’au 33éme kilomètre, elle a un peu souffert sur la fin mais sans trop, nous a-t-elle dit. Elle termine l’épreuve à la 935é place sur 8500 partants en 4h34m.

Bravo Céline félicitations prochaine étape « les 100km de Millau »….!

Céline avant le départ

Par un dimanche de fin d’été au Montalet

Ce fut une bien belle édition, de bruyères en sous-bois, bien servie par un ciel d’azur. À l’arrière (c’est pas du baratin, mais du vécu), les coureurs (euses) parlaient beaucoup entre eux, signe qu’ils étaient, malgré l’âpreté et la longueur du charcu’trail, contents (heureux ?) Et un beau vainqueur (Benoît Galand) sympathique dès le retrait de son dossard. Les organisateurs, Cyrille Jacquemin et Éric Cambon en tête, ont su fédérer, innover, accueillir dans la tradition des Monts de Lacaune. Bravo à eux, à leurs nombreux aides de camp, et à tous les coureurs venus gambader sur « nos » sommets.

Luz-St-Sauveur (65) : Era virada deths caçaires

Une course réservée aux gros bras

Dimanche 9 août, la Virée des chasseurs ne manquait pas de relief : 1800 mètres pour 18 km. Quatre Lacaunais avaient mis cette première à leur programme. Et quelle brochette : Êric (Cambon) qui l’avait préparée méthodiquement ; son adjoint Alain (Valette) qui ne court plus que sur rendez-vous (parfois sur ordonnance) ; Cyrille (Jacquemin) un quasi-indigène ; André (Suc) le correspondant qui avait flairé là le scoop de l’année sinon de la décennie. Huit heures passées : deux heures avant le départ, nos quatre compères sont déjà dans le dur de l’échauffement : Ricou en tête, puis André (mais que fait-il avec ce big bag – gros sac en langue du pays), Cyrille avec un énorme sac à dos, et Alain. Tous ces athlètes suent déjà sang et eau. Entre, il y a Michel le maçon (peut-être un bénévole de l’organisation ?) et Céline (Bonal), une enfant du pays qui, selon toute vraisemblance, fait la randonnée, mais au taquet. Un peu plus haut, c’est la Hou Garouse, une cabane de berger perchée à 1700 mètres d’altitude. Enfin c’était, avant que, cet hiver, une avalanche ne la ratiboise. Depuis le point de départ (1100 m alt ?), Éric l’a atteinte en 40 minutes, les autres « athlètes » en 45.

Dès lors, il ne sera plus question de sport que par procuration : en devinant au loin les athlètes s’échiner sur la pente opposée. Michel le maçon était bien un signaleur, surtout pour l’hélicoptère qui effectuera 21 rotations depuis la « drop zone » (encore du patois local) afin d’amener du matériel de maçonnerie et le déposer aux abords de la cabane (copropriété de Céline et Michel). Avec ses pales, l’on verra des scènes qui décoiffent : Éric qui devient girouette, Alain qui débarde des sacs de ciment, ou Cyrille qui joue les haltérophiles avec d’énormes pierres que le souffle de l’avalanche a jetées en contrebas. Aux quatre vétérans lacaunais, cette course à Luz procura donc une avalanche… de bonnes sensations. Et garde un fort goût de revenez-y…

Quant à la course de Lacaune (passage cette année dans la charcuterie-musée Oberti), il est rappelé au lecteur que les inscriptions sont ouvertes sur ce même site (c’est facile). Et ainsi, le dimanche 6 septembre, les participants auront juste à retirer le dossard. Opération brève qui leur laissera tout le temps de bâtir… un bon échauffement.  Et qui sait de construire… leur future victoire (fût-ce sur eux-mêmes).

600 marches de La Salvetat

Cette course de 3,5km, organisé par l’office du tourisme de La Salvetat, est certainement la plus difficile de la saison. 3,5km c’est peu, mais quand tu y es tu te mets vite dans le « rouge ». Une bonne « sissantaine » de marches d’escaliers rendent l’épreuve titanesque. Les jeunes, plus rapide que les anciens, partent comme des boulets de canon, mais aprés un kilomètre, se font rattraper, voire dépasser pour terminer à bout de souffle. La feinte c’est de partir tranquille et de finir comme les jeunes lors du départ, c’est à dire comme un boulet.

Mardi soir 34 lacaunais étaient là (record battu) parmi les 79 partants (re-record battu). Beaucoup d’A.C.L iste, des footeux, des individuels. Mégane terminera 2éme féminine sauvant ainsi l’honneur de notre club, quant à Bastien, l’un des favoris de l’épreuve, il échoua au pied du podium.

Comme d’habitude un pique-nique bien sympa cloturera cette soirée qui restera pour tous un excellent moment de partage, de joie, et de bonne humeur. Merci à tous ceux qui ont participés et à l’an prochain. Ricou.

 

RESULTATS

 

La Gijounade à Vabre

  • Les Lacaunais jouent « placé »

          Canicule passée, sept Lacaunais avaient inscrit la course de Vabre au programme : un petit tour en village pour se montrer, puis la montée, progressive sur trois kilomètres, sur les crêtes d’outre-Gijou. Après deux ou trois km de plat (relatif), c’est  la redescente dans la vallée où, de 1911 à 1962, serpentait le Petit Train Castres-Murat.

    Lionel (Maffre), lui, a tiré tout droit. Son séjour (actif sur le GR 20) en altitude (pas le petit Montalet, le Monte Cinto, 2710 m) a porté ses fruits : il boucle les 11 km champêtres en moins de 50 minutes, soit à 5 minutes du duo de vainqueurs. Dans sa catégorie, la quatrième place n’est pourtant pas celle du dindon  : en vertu du non-cumul des récompenses (le 1er V1 – + de 40 ans – étant dans le tiercé « absolu »), il grimpe sur le podium. Éric (Cambon) avait l’opportunité unique de prendre la tête provisoire au classement général du challenge du Parc. Il lui fallait, pour cela, distancer Édouard (62 ans) de cinq places. Le contraire se produisit : Édouard faisant même intervenir sa tribu Meiler pour préserver sa domination. Désormais le boss devra se concentrer sur sa profession de pilier de bistrot (la course de Cuxac-Cabardès se déroulant lors des fêtes de Lacaune), ou d’organisateur (trail du Montalet du 6 septembre). Adieu lauriers, le patron va aller au charbon… Dans ce contexte plus relevé que d’ordinaire, Yohann (Girabancas) n’a pu tirer son épingle du jeu : il finit 31ème, juste derrière le président.

    La tradition populaire veut qu’un bouillon de poule (arrosé de vin rouge, soit le fameux « chabrot ») vaille une course de médecin. Sauf pour monter sur le podium : c’est le résultat auquel parvint Alain (Valette), 3ème de sa catégorie (V3, + de 60 ans), et 71ème au scratch. Il convient de préciser que le vice-président du club cible ses sorties : l’été à Vabre, l’hiver à Castres (Ronde givrée). Entre, c’est « pause au logis ». Mais pas toujours, si l’on regarde son bronzage bicycole. André (Suc) s’estimait ballonné : il aurait donc dû prendre son envol. Las, il fut loin des champions, avec sa 92ème place. Yolande (Culié), elle, ne s’estimait pas au top ni avant, ni pendant, ni après la course. Pourtant, elle signe, avec le 106ème temps général, la meilleure place de la colonie charcutière : 2ème V2 (+ de 50 ans). Tous ces athlètes se sont beaucoup donnés : ils ont fini claqués. Exception : Hubert (Taru). Lui, dès le 5ème km, a reconnu son muscle (mollet ?) au bruit qu’il a fait en partant : « clac ». D’ordinaire, avoir un temps d’avance est bénéfique. Pour Hubert le pionnier, il n’en fut rien : il figure au 129ème rang des 139 arrivants. Avec, dans ce contexte ingrat, la satisfaction d’avoir pu terminer l’épreuve. Qualifier l’organisation bien rodée autour de Christian et Annie Molinié ? Amicale, généreuse, et même festive pour Lionel qui prolongea le séjour.

    Désormais, pour les coureurs du cru, pointe à l’horizon le trail du Montalet. Avec l’ambition d’accueillir au mieux les visiteurs qui viendront gambader le dimanche 6 septembre dans les Monts de Lacaune.

  • Résultats

La Pitchounette à Rouairoux

Petite mais sympa

Rouairoux : 366 habitants. Certes, ce n’est pas très loin de Labastide-Rouairoux. Mais Rouairoux a tout d’une grande : c’est une commune autonome. Que le président d’un club d’athlétisme l’ignore, passe encore. Mais qu’un champion de culture générale passe au travers… impardonnable ! Et c’est ainsi que depuis le café Ricou à Lacaune, Éric (Cambon) et André (Suc) supputent avec beaucoup de finesse et  d’ingéniosité (pensent-ils) : « Le rendez-vous est au stade de Lacabarède, donc ledit stade doit se trouver en lisière de Labastide. »   Éric rajoutant même : « J’ai rentré au GPS (dont il n’écoute pas l’itinéraire), avenue de Gaulle à Lacabarède : en principe, De Gaulle, c’est l’avenue centrale… » Heureusement, la marge de manoeuvre horaire était importante.

Passage à la Salvetat-sur-Agoût. Là les attendent Maria (Jacquier), ainsi que Marie et Mégane (Gil). Dans une Renault (?) que Mégane, en suivant les hommes, conduit, via Saint-Pons, jusqu’à la voie verte de Rouairoux. Là-bas, tandis que Marie et André glosent de tampon et de vaseline, Maria, Mégane et Éric s’échauffent : ce seront eux qui signeront les meilleures performances (à retrouver sur le site internet « Challenge du Parc naturel régional du Haut-Languedoc »). Il s’échauffent donc, mais en cette fin de matinée, on est déjà loin du « Pissadou de Nostre-Seigne ». Labastide-Rouairoux est connu pour être le bourg le plus arrosé du Tarn (en général devant Murat-sur-Vèbre) : la chaleur est déjà là. Cependant le parcours juste vallonné, après la longue mais digéreable côte du quatrième kilomètre, est souvent ombragé : ouf !

Bonne réception et organisation volontariste de toute l’équipe qui n’a qu’un objectif : faire plaisir aux coureurs. Même si les bénévoles n’y sont pour rien, c’est Mégane la plus heureuse : elle est première de sa catégorie espoirs. Comme Maria talonnant André, Éric aussi s’est bien défendu : 18ème. Mais ces « putes de vieux » ne veulent pas abdiquer : il est (au mieux) 3ème de sa catégorie V2. Il se fait même damer le pion par Édouard (Meiler) le sexagénaire et leader actuel du challenge, juste devant Éric.  Encore quelques points de perdus donc pour le Boss…. Rendez-vous à Vabre le 25 juillet, pour d’autres aventures. 

Saint-Agnan

Une petite promenade un samedi après-midi du côté de Brassac, à Saint-Agnan plus exactement pour 6 compères de l’ACL: Bastien, Fabien, Ricou, Yohann, Le Lion, et Cyrille.

Tous engagés sur le 14 Kilomètres sauf Cyrille qui jouera les fillettes et se lancerar sur le 7 Kilomètres. Première édition à l’occasion de la fête du village, un accueil bon enfant, pour une modique participation de 8€.

Echauffement puis départ du 14Km à 16H sous les coups de fusil des « ball-trapeurs » locaux venus exploser des milliers de cartouches!!

Le départ du 7Km se fera 1/2h plus tard.

Un parcours relativement bien travaillé, mélant tout ce qui se fait dans le trail: des singles, un peu de piste, des montées casse-pattes, des descentes rapides.

Au final le Lion rattrapera Cyrille à 500m de l’arrivée pour signer une victoire en 1H08, viendront ensuite compléter le podium, Bastien, Fabien et Ricou. Les 4 premières places « trustées » par l’ACL.

Yohann, quant à lui, a subi une grosse hypoglycémie, et a donc fini en marchant.

Douche, bièrottes, podium, maison, dodo.

Petite course sympa, à refaire.

 

La Mérinos

Inoxydables 

Ce vendredi 12 juin, une triplette était engagée dans la course de Mazamet (cinquième édition, mais première pour le club). Et un trio d’expérience : Éric (Cambon), Yolande (Culié), André (Suc). Si ce dernier venait de parler à un million de téléspectateurs (ou plus), Éric n’était pas en reste en dialoguant avec le tout-Mazamet, puisqu’il était connu comme le loup blanc, auprès des signaleurs notamment. L’essentiel était d’arriver à l’heure sur la ligne de départ où, en cette moite soirée, un peloton étoffé piaffait d’impatience devant un public dense.

Avec trois orchestres près du parcours, il était plus facile de doper la cadence sur les trois tours d’un circuit de ville. Doubler ou se faire doubler, là est la question. Éric opte pour la première option, mais André se faisait doubler, près de la ligne d’arrivée pour Benji, le maître-nageur des Sources chaudes, et son poursuivant immédiat. Yolande put choisir, mais de justesse, le statu quo. Suffisant pour signer la bonne opération de la soirée : 2e V2. Quant aux hommes, ils sont loin dans leurs catégories : 9e pour le V2 Éric, 10e pour André (V3), après avoir fait du yo-yo avec… Yolande. La longévité (2 V5, soit plus de 80 ans étaient même dans ce groupe), et des pelotons plus étoffés sont, avec l’émergence de courses nouvelles, sûrement les enseignements de ces dernières années.

Quant au parcours, il fut jugé plus intéressant à cette « Mérinos », emblème du glorieux passé mazamétain, qu’aux 10 km de Castres. Par Yolande et Éric. Car André ne daigna pas répondre à un « petit correspondant de province » (sans doute un caprice de star). Avant de remonter au pays, il convenait de partager la douceur estivale des terrasses mazamétaines. Avec des cyclotouristes du cru : bien plus que des clients pour le café Ricou.

Mérinos (10km) : 1. Alquier Benjamin en 33’31 ».  35. Éric en 41’13 »  139.André en 51’07 »  145.Yolande en 51’25 »  (216 arrivants).

Un dimanche de médailles

Du soleil, des amis, une piste d’athlétisme, un repas. C’est le coktail idéal pour vous mettre en forme pour une semaine à venir.

Dimanche 15 « athlètes » du club ont suivi cette thérapie de groupe, pour la deuxième année consécutive, en participant au désormais très célèbre meeting intercommunal « Ricou » Lacaunais.

4 épreuves au programme, Lancer du poids, 60 mètres haies, Lancer de Javelot, 1000 mètres.

Au Lancer, ou plutôt au balancer de poids les filles seront suplantées par Mélanie qui fait preuve d’une réelle dextérité.

Aux haies, c’est une partie de franche rigolade, l’arbitre officiel, en la personne de Claude ira même jusqu’à faire remarquer à certaines concurrentes que c’était une course et qu’il fallait quand même lacher un petit peu « les cheveaux »!!. Les frères Amalric s’y donnent à fond, Jacques Vieu, en buldozzer, balance le plus de haies possible, Guillaume venu en spectateur, ne peut résister à la tentation de tester le tartan pieds nus.

Javelot pour les filles, dominé encore une fois par Mélanie, et par Fabien chez les garçons. D’après les conseils du coach, il faut « fouetter ». On a un an pour s’y entraîner à la maison…

Ricou s’en va au boulot pendant que tous s’alignent au départ du 1000m.

Les mobylettes à fond, dominées par Yohann, seul Cyrille à la galanterie de rester proche des féminines, dominées par Yolande.

Après de tels efforts, apéritif (sans abus), repas, jeu collectif de ballon ou de corde tendue (équilibre entre 2 poteaux, je ne me souviens plus du nom).

A noter que Ricou au retour du boulot, s’est tapé le 1000 m seul, sous les encouragements de la foule et de ses groupies! Emu et chamboulé, il en a oublié une chose essentielle de sa vie, mais la décence et le respect de sa vie privée m’obligent à ne pas en dire plus.

Une bien belle journée, pour sur, à renouveler l’an prochain.

Résultats et photos prochainement postés par Ricou.

Load More