Semi-marathon et marathon de Toulouse

Le dimanche 22 octobre 2017, se courait le marathon de TOULOUSE, le semi et le 10 km. Cette épreuve ne savait pas, ni même les organisateurs qu’ils allaient voir des coureurs des montagnes tarnaises déboulés dans leurs rues. En effet, l’ACL arrive en force dans la capitale de l’Occitanie.

Un coureur sera sur le 10 km, 9 seront sur le semi-marathon et un sur le marathon ! Faut bien qu’un « barjot » se mette sur la plus longue distance. Et dans ce club, nous avons toujours un barjot pour s’y inscrire !

Le temps n’est pas au beau. Cela bruine, y a du vent, où est passé l’été indien dont les informations télévisées nous rabâchent sa présence ? Bé il n’est pas à Toulouse ce dimanche matin.

Alors que les semi-marathoniens arrivent, Yohann est déjà en place pour le 10 km. Mais la sécurité, pour les coureurs et organisateurs, retardent l’arrivée des coureurs sur la ligne de départ. Faut dire aussi que certains arrivent au dernier moment. Enfin… Donc le départ du 10 prévu à la base à 08h30 ne sera lancé qu’à 08h50, heure prévue pour le semi. C’est pas grave, tout le monde prendra le départ de toute manière.

Cela laisse le temps aux 10 autres licencié(e)s de se prendre en photo avant de passer la sécurité. Photo transmise bien entendu presque aussitôt au président. Même loin et absent, il est là ! Trop fort. Autant vous dire que l’ambiance est montée d’un cran dans la file d’attente avec l’ACL en son sein. Cela parle fort, rigole, « déconne », enfin c’est l’ACL quoi !

Le 10 km part enfin. Aux vues du départ de Yohann cela va envoyer ! Il se trouve après six cents mètres dans les 30 premiers. Difficile de l’encourager tant la vitesse est élevée. Il va faire une course dont il a le secret et terminera en 34 minutes et 36 secondes pour être précis!

Soit accrochez vous au fauteuil, une moyenne de 17,34 km/h ! Quelle machine ! Pour les amateurs et amatrices de chiffre, cela fait quand même du 3,27mn au kilo !!!! A cette allure là cela lui ferait un semi en 1h13 et un marathon en 2h26… Tu sais ce qu’il te reste à faire Yohann ! Une 22ème place au classement général ! Vu comment le niveau était élevé c’est une superbe performance ! Bravo !!!

Maintenant place au semi-marathon ! Y a du monde ! Beaucoup de monde ! Les organisateurs ont annoncé sur le total des 3 courses 10 000 concurrents ! Donc LACAUNE se devait d’être présente ! Nous aurons donc sur les rangs, honneurs au dames : Mégane, Véro, Christine, Marie, (forcément) Maria, Sonia et Yolande puis Hubert et Francis ! L’avantage pour Hubert, c’est qu’aujourd’hui il n’aura pas à attendre Manu pour le relais (voir article sur l’EKIDEN).

Le départ est pris. Dans la foule des coureurs (2914), nous n’apercevrons pas nos licencié(e)s. C’est un arc en ciel de couleurs de maillots. Le pont de COURBERTIN est rempli des runners qui font trembler l’édifice.

On envoie les chronos d’arrivée dans l’ordre :

Francis 1h47 – 943ème-

Hubert 1h55-1463ème

Maria 1h55 – 1528ème –

Sonia 1h57 – 1631ème-

Yolande 1h57 -1647

Mégane 1h58 – 1748ème-

Marie 2h05 – 2172ème-

Christine 2h06 -2231ème –

Véro 2h07 -2276ème-

Christine et Véro faisaient leur premier semi-marathon en plus. Félicitations.

Et maintenant place au dernier licencié. Manu qui s’est inscrit sur le marathon. Il ne sera pas seul, encouragé par sa famille sur les trois quart de la course avant que les semi-marathoniens n’en terminent et l’attendent.

Ils sont presque 2600 à partir sur la distance reine. Le départ est donné à 09h40 (prévu normalement 09h20) et il fera donc le tour de TOULOUSE avant d’arriver comme tous nos autres licenciés sur la place du CAPITOLE et son beau tapis rose !

Il va avoir droit à tous les temps possibles, neige non comprise. Sombre, vent, soleil, pluie, la totale. Pas de pitié pour les prétendants à la médaille de finisher.

Pour aller au plus simple, sa course ira très bien jusqu’au 33ème kilomètre et finira comme souvent au moral.

Pendant que les coureurs du semi se battent pour récupérer leur consignes, il avance à son allure mais il avance.

L’alerte est donnée par son épouse qui prévient tout le monde. Manu a mal et cela devient dur pour notre coureur. Entre les encouragements sur son téléphone, ceux du public, ceux de sa famille, il va recevoir ceux du club de fort belle manière. Alertés, avertis, postés au 41ème kilomètre dans les belles vestes bleues de l’ACL, les semi-marathoniens déjà changés et douchés vont venir se mettre à courir avec lui sur 600 mètres. Relançant de ce fait notre Manu trahis par ses pieds qui le brûlent. Il repart gonflé à bloc pour son dernier kilomètre et passe la ligne en 4h01et 52secondes. Une 1461ème place sur 2598 finishers.

Il respirera un peu et prendra un bon ravitaillement avant d’envoyer un sms aux semi-marathoniens pour les remercier. La cohésion de ce club : l’amour et la famille !

Ensuite chacun repartira vers son domicile avec l’esprit plein d’images et le devoir accomplis. A savoir que les organisateurs ont prévu les choses en grand car chacun partira avec la médaille 2017 de l’épreuve.

Bravo à toutes et tous et à bientôt !

Manu

Labruguière, rond-point des espoirs…

« Vas-y tonton ! Vas-y tati ! » sont les clameurs scandées en fin de descente, et de difficultés; là où les coureurs franchissent à gué (plus ou moins) un ruisseau. De l’enthousiasme et peu de chance de se tromper : à part peut-être quelques jeunes gens, enfants uniques ou aînés de leur famille, nous sommes tous des tontons ou tatas de quelqu’un. Ils sont bien crottés, les « athlètes », surtout ceux de la piste jaune. En effet, depuis quelques heures, une intermittente et légère pluie, chaude de surcroît, savonne les sentes. Surtout quand elles sont escarpées. Heureux les premiers de cordée !

Toute une colonie de Lacaunais ou assimilés avait fait le déplacement ce samedi 21 octobre. Avec des performances plus qu’honorables, outre les victoires de Maxime (Durand) et Juliette (Bouisson). Comme la première équipe mixte sur le relais pour Virginie (Hérail) et Éric (Cambon) himself. Ou encore la 4e place de Laurent (Soccol) sur la course la plus fréquentée : le 12 km.

Le temps des (dés)illusions

Pour Lionel (Gros), c’est quand même ballot : faire 28,997 km en position de podiumable, et se faire éjecter à trois mètres de la ligne d’arrivée. Il faut dire que le père Gros était engagé sur la piste jaune, et lui  est plutôt un spécialiste des espaces… verts.

« Mais tu es le Poulidor de l’athlétisme tarnais! » S’appliquant à Hugo (Fabre), cette remarque semble fondée : voilà cinq fois consécutive qu’en individuel, il fait deuxième junior (derrière un vainqueur différent la plupart du temps). Mais voilà : Poulidor est né avec le Front Populaire (1936), et s’est forgé cette renommée d’éternel second (pas toujours justifiée du reste, certains aimeraient avoir son palmarès) dans les années 1960. Et, comme les gens indispensables, la renommée s’effrite au fil des ans. Il semble grand temps d’utiliser une autre métaphore si l’on veut être compris de tous, y compris des plus jeunes. Cher lecteur, si vous avez des idées… Mais la solution la meilleure, la voici : « Gagne, Hugo, gagne ! »

Lou camin de Farissou (12 km)

1.Vincent Devaux en 46’23… 4.Laurent (Soccol) à 1′ 32″ (1M1)… 18.Christophe (Tichit)… 31.Hugo (Fabre) et 2Ju… 44.Juliette Bouisson en 57’26″…  71.Marc (Fabre) et 3M3 (pour lui, 3M3, ce n’est « que » la troisième fois consécutive)… 98.André (Suc)… 117.Dominique (Tichit) suivie de Raymond (Soucasse)… 130 Tatiana (Devic).  162 arrivants.

La Piste Jaune (29 km)

1.Maxime (Durand) en 2h24’57″… 4.Lionel (Gros) à 9’15 ». 71 arrivants 

Le relais

3.Virginie Hérail et Éric Cambon (1ère équipe mixte). 7 arrivants.

Note: vous pouvez trouver facilement le classement complet avec un moteur de recherches. Au cas où il en resterait quelques-uns après moi qui ne s’en seraient pas encore aperçus, vous trouvez les « performances » précédentes (depuis 2004) de chacun en cliquant sur leur nom.

CHALLENGE DU PARC 2017

Il reste seulement la course d’Aussillon, ce 29 octobre. Au nombre de points, il suffit que Christophe (Tichit) s’y déplace pour être le dauphin de l’année. Aux 14 « meilleures » courses, il devrait aussi s’incliner, mais devant le M1 David Velasco, vainqueur masculin du challenge, et peut-être devant Christophe Grangié. Quoi qu’il en soit, avec un passé d’athlète très modeste (2 ou 3 ans), chapeau bas…. Il y aura d’autres podiums Marc (2M3), Raymond (2e ou 3e M4), Florent (Tichit, 2e Ju). Mais le plus extraordinaire nous remplit d’espérance : Hugo, le jeune Hugo qui attend toujours patiemment sa place de dauphin, il sera …premier. Premier junior ! Et s’il y prenait goût ? Poulidor était populaire. Mais les champions aussi peuvent être populaires !

 

 

Raspe trail

Cyrille était dimanche au Truel(12) et a participé au Raspe trail, le 22km. Il termine l’épreuve en 2h31m23s, 20é sur 141 arrivants…..un petit résumé peu-être!! 🙂 :)….

Grande traversée Sud de France 112kms

Le 9 oct. 2017 11:43 PM, « Jérôme Gasparoux » <gasparoux.jerome@gmail.com> a écrit :

Jeudi après-midi, départ en famille pour Argeles sur mer. On arrive tranquillement à Perpignan quand je m’aperçois que j’ai oublié mes gourdes. Ça commence bien ! Je me traite un peu de tout les noms et direction le premier magasin de sport se trouvant sur la route. Ce sera sport 2000,bof bof mais ça dépanne. Après ce coup de stress, installation au camping et baignade pour se décontracter. Une bonne nuit de sommeil et c’est l’heure du départ pour Vernet les bains. Récupération du dossard, vérification du matériel, repas et une longue attente avant l’heure fatidique. 17h30 enfin le départ, en avant pour une ascension de 10 kms  et 1500 m de d+ vers le Mont Canigou et le refuge des Cortalets. Objectif atteint en 2h25,la température baisse considérablement et le vent est glacial. Il est temps de passer en mode hiver, veste, gants, bonnet et seconde peau. Le soleil se couche, on allume la frontale et c’est parti pour 27 kms de descente souvent technique et de coups de cul. Mise à part la désormais traditionnelle torsion de la cheville, tout se passe pour le mieux. Arrivée à Arles sur Tech, première base de vie, où je me perd dans le village comme beaucoup d’autres coureurs. Arrêt un peu long (40 min) où j’enfile des vêtements secs, m’alimente (chouette il y a de la pastèque) et discute un peu du parcours. Il est temps de repartir, je commence par 7 kms et 400m de d+. Après 2 bornes, des problèmes gastriques commencent à se faire ressentir et hop chouette la pastèque. Je n’en fini plus de vomir et n’arrive plus à m’alimenter. Le calvaire commence ! J’arrive tant bien que mal au sommet puis 3 kms de descente et c’est reparti pour 7 kms et 700m de d+. Je déambule tel un mort vivant, j’ai mal au ventre, j’ai froid, j’ai mal au genou et m’endors en marchant. Bref, ça devient dangereux et je n’arrive plus à positiver. C’est décidé, j’abandonne au prochain ravito. 7h00, j’arrive enfin au Puit à glace (il porte vraiment bien son nom). Le vent est tellement fort que le chapiteau du ravito est démonté, il y a juste une table avec de l’eau et un fourgon de gendarmerie de montagne qui assure le pointage. Les gendarmes ouvrent la fenêtre du fourgon pour voir mon dossard et je leur signale que j’abandonne. Ils me réconfortent, me demandent si je suis sûr,  me proposent de me réchauffer et me reposer un peu dans le fourgon. Bien sûr, j’accepte ! J’envoie un SMS à ma femme pour la prévenir de mon abandon(elle le recevra 3h plus tard) et je m’endors aussi sec. 1h15 plus tard, je me réveille et les gendarmes me disent qu’il me reste 7 kms de descente pour être évacuer au prochain ravito où, peut-être, continuer ma route si j’en ai la force. Ils m’encouragent et m’incitent à continuer. Je les remercie vraiment du fond du cœur pour leur patience. Je repars. Les articulations sont raides, je recommence à trottiner puis à courir malgré cette douleur persistante au genou. Les sensations reviennent, le moral remonte et je commence à envisager de poursuive l’aventure si le temps me le permet. 10h05,après quelques kilomètres parcourus en Espagne, j’arrive au ravito de Las Illas. J’ai, en gros, 3h30 et 16 kms pour rejoindre Le Perthus. C’est décidé, je me strappe le genou et je tente le coup. Tout est revenu dans l’ordre, je me sens pousser des ailes et j’arrive au Perthus à 12h15 où je retrouve ma petite famille. Ça me booste encore plus, j’en profite 20min et je repars. Direction le Col des 3 hêtres où je joue le lièvre pour un coureur du 75kms en difficulté dans les ascensions. J’arrive au col toujours en forme et prêt à affronter la terrible descente vers La Vall 2.5kms et 750m de d-. Une descente interminable que je décide de prendre tranquillement pour ne pas trop me casser les jambes. Après 1h30,j’arrive enfin à La Vall où les encouragements font du bien au moral. Ravito et plus que 10 kms avec une petite bosse(parole de bénévole)  de 4km et 300m de d+. Finalement, ça passe tout seul jusqu’au dernier ravito à Valmy. Il reste désormais 6 kms dont 2 de descente sur large piste et 4 de plat sur route. La nuit tombe et je vais parcourir ces derniers kilomètres avec un coureur qui a laissé sa frontale au Perthus. Ce sera ma bonne action de la journée, il va moins vite que moi mais je vais rester avec lui jusqu’à la ligne d’arrivée. Après 27h18 de course, arrive la délivrance et le bonheur du devoir accompli. Un sentiment indescriptible ! Un jus de baobab et bien sûr une bière pour finir ! Fier d’avoir représenter le club du mieux que j’ai pu ! Merci à ma femme de supporter tout ça et merci aux gendarmes ! Ainsi s’achève la saison, avec un 5 sur 5 en ultra l’objectif est atteint. Vivement 2018 et de nouveaux défis ! Désolé pour la longueur !

Ekiden d’Albi 2017

L’ACL à l’EKIDEN d’ALBI

Le samedi soir, alors qu’une bonne partie de la France s’installe devant la télévision pour suivre un soit disant match crucial de l’équipe de France de football, nos licencié(e)s sont inscrits sur l’EKIDEN d’ALBI soit un marathon a faire en relais.

Nos runners sont prêts. L’ambiance comme l’an dernier est bonne. Les bénévoles sont en place et les participants sont en nombre ! 507 équipes de 6 coureurs sont inscrites. Autant dire que beaucoup ne regarderont pas le foot !

LACAUNE aura trois équipes d’engagées ! Comme d’habitude les noms sont évocateurs de nos racines : les gens bons crus de LACAUNE, les gens bon secs de LACAUNE et enfin les gens bons blancs de LACAUNE. La boucle est bouclée. Enfin non… Car va falloir courir.

Les premiers relayeurs sont en place. L’ambiance est montée d’un cran et chacun se concentre sur la course. Dans l’ordre des dossards Janot, Tonton et Silvère prendront le départ pour l’ACL.

Discours des officiels et c’est parti dans la nuit albigeoise.

La température est bonne, pas de vent, donc en avant ! Nos trois compères partent ensemble direction les berges du TARN et les lumières tamisées vers le vieux pont après avoir quitté les éclairages de la cathédrale Ste Cécile d’ALBI. Magnifique. Ah oui effectivement ! Nous avions oublié de vous dire qu’ils sont partis pour courir 5 km.

Jean est le premier à donner son relais à Yolande qui part pour deux boucles de 5 km. Effectivement, cela fera bien 10 km en fin de parcours.

Silvère passe le relais à son tour à Ricou qui part comme une flèche. Tonton arrive et lance Marie dans le bain de l’Ekiden.

Et cela encourage et cela danse et tout cela fait du bruit. Une superbe ambiance ! Le tout en scrutant le grand écran pour faire le point sur nos coureurs qui passeront une première fois sur la ligne avant de passer le relais aux 3èmes. Ricou passe, vroummmmm. Yolande passe suivit de Marie. Les gens bons font le show, les applaudissements et les allez allez fusent à chaque passage.

Lançons nos troisièmes relayeurs ! Ils partent pour 5 km et là encore les couleurs lacaunaises éclairent les rues de la « capitale tarnaise ». Rien à dire sur nos licencié(e)s. La course est à eux. Ils fendent le vent et font fondre le macadam … Je crois que je m’enflamme un peu mais c’était tellement beau.

Hubert, Tatiana et Marc sont bons. Ils grappillent des places et font une belle course.

Virginie prend le relais de Tatiana et s’en va, chevelure au vent, pour parcourir le second 10 km de la course.

Puis survient le drame. L’erreur naturelle de la journée ou du moins de la soirée. L’EKIDEN est un relais… et quand un relayeur n’est pas là, c’est pour Hubert un grand moment de solitude… Jusqu’à ce que Manu arrive enfin pour prendre la suite. Leur relais a perdu du temps. Et le temps semble relatif. Court pour celui qui aurait du y aller, long pour celui qui attend. Mais encore plus loooooong pour les spectateurs licencié(e)s à l’ACL !

La légende, vite née, dit que plus de 4 mn se sont écoulées entre l’arrivée d’Hubert et le départ de Manu… Légende urbaine ou pseudo légende Marseillo-lacaunaise, nous ne saurons jamais. Mais la vérité des chronos est toute autre… cela fera à la fin « que » 2mn17 de plus ! Mais cela fait quand même 2mn17 ! Manu part vite… est-ce pour récupérer le retard ou pour se cacher dans la pénombre des premiers quartiers albigeois traversés ? Là encore allez savoir !

La non prise de son relais dans les temps sera son fardeau pour la soirée (voir pire) mais il le sait déjà.

Revenons à la course. Car elle continue et tous donnent le meilleur. Virginie termine son deuxième tour et le relais est pris, correctement, par Dominique. Et ce sera un 5 km au programme pour notre traileuse de poche. Manu arrive à son tour et lui contrairement à d’autre -enfin, à UN autre- n’a pas à attendre. Sonia l’a vu et se trouve dans l’aire de relais. Une tape dans la main et elle s’élance.

Notre troisième équipe voit le flambeau repris par Hugo qui de suite prend une belle foulée. Cela sent la fin de la course. Encore 12,5 km ! On calcule savoir si il y a assez d’avance ou si les chronos sont serrés. Et puis y a toujours le fil rouge de la soirée depuis 50 mn, le fameux relais de Manu ! Enfin sa non prise de relais, voulais-je dire !

Et arrive le dernier relais ! Christophe part après sa chère et tendre terminer la course des dossards 41 et une première place du podium des équipes de l’ACL !

Francis part vers l’arrivée suite au bon relais de Florent qui a doublé Sonia. Mais elle ne s’est pas laissée faire et combative elle laisse le relais à Guillaume qui part comme un avion. Flèche bleue est sur la route ! Écartez vous !

Ils passeront tous les trois une première fois sur la ligne de départ avant de faire une petite boucle de 2,5 km avant de passer la lignée d’arrivée.

Christophe a la voie libre et passe devant les licenciés qui ont déjà couru, avec le beau bâton de relais lumineux à la main. Encore 2,5 Chris !

Guillaume passe à son tour. Il a doublé Francis ! Guillaume est encouragé lui aussi. Il reprochera juste que lors de son passage, certains – dont je tairais les noms- étaient à la terrasse d’un bar bière à la main. Jamais contentes les stars ha ha !

Francis passe la ligne armé de son « gourdin de relais lumineux » devant les yeux étincelant de sa chère et tendre !

Et les chronos tombent et se figent dans le ciel d’ALBI.

Nos équipes :

Les gens bons secs terminent ce marathon en 3h07mn et 40 sec à une belle 83ème place et 6é équipe mixte sur 108

Les gens bons blancs terminent eux en 3h18mn et 45 sec 148é et 15é mixte et enfin les gens bons crus de LACAUNE passent la l’arche d’arrivée en 3h23mn et 12 sec 186é et 22é mixte !

Maintenant tout est terminé. La course, les relais, les places mais reste le repas a faire. Et de chambrer Manu bien entendu. Faute avouée à moitié pardonnée, reste plus qu’à chambrer ! Cela se fait dans la bonne humeur et il se prête bien entendu au jeu de subir « sa faute » !

Le repas se passera comme chaque fois sur la place LAPEYROUSE à ALBI aux abords de la statue ! Chaises tables et hop ! Lacaune envahit Albi ! Enfin un tout petit bout de la ville. Mais ce petit bout est bien une terre lacaunaise le temps du repas.

Puis vint le retour vers les hauteurs du TARN. Chacun prendra la route en sécurité même si certain ayant besoin de photos d’identité iront les prendre de nuit sur le bord de la route… Là encore pas de nom…. Mais cela ferait bien un belle suite à notre article, non ?

100km de MILLAU

Malika a participé et terminé les 100km de Millau samedi dernier. Son temps 14h08.

 

100 kms de millau

Un petit résumé assez bref des 100 kms auxquels j ai participé ce samedi 29 septembre. Je me suis donnée ce challenge afin de me booster  et de savoir si j étais capable de tenir une telle course et bien c est chose faite, bien sur, elle n a pas été facile déjà rien que l entraînement fut lamentable, difficile de trouver l entraînement adaptées ensuite un problème de gestion de l alimentation difficile a gérer tout du long de la course et mon sherpa qui m a fait faux bond au dernier moment  et la pluie qui s est invitée a la fête  et la fameuse lampe les qui n éclairait a peine trois mètres  enfin avec tout ça  j ai pu terminer contente d être allée jusqu au bout de la course, je remercie mes supporters de saint Afrique Domi janot  et Éric et ma sœur qui m a soutenu tout du long

Malika Septembre 2017

Montredon, sur la piste des étoiles…

Dimanche 1er octobre, 9 h 30 : pataclop, pataclop, pataclop… Dans le raccourci à l’arrière de la salle polyvalente, loin de l’agitation de l’esplanade, un coureur répète ses gammes, sautillant sur place et martelant le bitume. Il importe qu’il soit « chaud » au départ.

Bonne préparation : Aurélien Cavaillès (c’était lui) fait un démarrage tonitruant, en compagnie de l’un des ses homologues. Un concurrent qui finira pourtant par lui prendre quelques centimètres, puis quelques longueurs. Lutter, oui. Se cramer, non. L’écart est creusé, lorsque l’athlète bifurque vers la ligne dès le 1er tour : ce sera le vainqueur des 5 km. Et Aurélien peut continuer sur son tempo (bon : son suivant sera relégué à 1’12 »). Et dire que ces Foulées, au parcours alternant côtes/descentes et portions de plat n’est qu’une répétition… Comme l’explique l’ancien/nouveau sociétaire de l’Athlétic Club Lacaunais : « Oui, je vais faire la saison de cross, comme Yohann (Girabancas). Ici, c’est plus pentu que souhaité, mais bon, c’est passé. »  Objectif en ligne de mire pour le coureur de 29 ans : la qualif’ pour les France de cross-country programmés en fin d’hiver, après les étapes successives (Tarn, régional, interrégional). Dans son sillage, signalons les perfs du vétéran Christophe Tichit, un peu sur son terrain ici puisqu’il est arbitre  (« à la maison » ?) pour le  club de rugby local. Et du cadet Guilhem Rouquette qui continue sereinement sa progression.

L’absence pour reconversion en cycliste d’Édouard Meiler le M3, extra-terrestre en course et très humain hors compèt’, ouvre des perspectives pour des podiums catégoriels aux Lacaunais Marc Fabre et André Suc. Ce dernier, lassé d’être 4ème, tient à peu près ce raisonnement : « La place d’Édouard est libre = Suc 3ème, donc podium ! Et puis, à force d’être vétéran, normalement on finit par mourir, non ? Hé, hé, s’agit de pas être le premier à trépasser… » Eh bien, à Labessonnié, les vétérans 3, ça naît. Enfin, au moins un, et véloce. Suffisamment pour que le narrateur reste au pied du podium. Comme toujours…

Foulées (10 km). 1.Aurélien Cavaillès en 36’52 »   11.Christophe Tichit en 40’56 (2M1)   15.Guilhem Rouquette en 42’17 (1er cadet)   21.Hugo Fabre en 42’41 » (2J)   36.Frédéric Joucla (Nages)   46.Marc Fabre (3M3)   53.André Suc   59.Sylvère Assié (néo-pro)   61.Dominique Tichit   66.Tatiana Devic   72.Raymond Soucasse (1M4)   (99 arrivants).

Signalons aussi dans la mouvance lacaunaise les participantes aux 5 kilomètres Aurélie Joucla et Marine Fabre. Et les galopins Jade et Maël Joucla, Gabin Rouquette, Axel Christophe, d’autres peut-être.

TRAIL DES BANUTS

TRAIL DES BANUTS 24 SEPTEMBRE 2017

Quelle belle journée en ce dimanche 24 septembre!!!Le soleil est au rendez vous et les températures devraient monter au fil des heures….

Rendez vous donc chez Janot à 7h30 pour Ricou(qui ne court pas aujourd’hui pour cause de tendinite mais qui sera présent tout le long du parcours pour nous HURLER dessus quitte à frôler l extinction de voix!!!! 🙂 ), Domy , Christophe et moi….avec les chocos!!!Au top les Tichit!!! :)Merci…On retrouvera sur la route lionel.

Nous voilà donc partis pour le trail des Banuts à Combes(34), et sur la route qui nous y mène que de beaux paysages….belle course en perspective…

Arrivé, inscription sans repas mais pas grave Christophe et Domy ont prévu un pique nique gargantuesque!!!Mais ça c’est pour aprés!!! 😉

On retrouve des connaissances…une bonne participation pour ce trail, environ 175 coureurs pour le 16 km, 120 sur le 33km avec Cyrille pour les lacaunais, le reste de la troupe se contentera du 16….et quelques randonneurs pour compléter!!

Bonne ambiance et le départ est donné à 9H30 avec conseil du coach de se placer devant pour ne pas etre freiner quand ça fait entonnoir…hem…Domy pense que ça risque de la démoraliser si il y en a encore plus qui la double!!!!Bon on verra…c’est parti!!!Cyrille est déjà parti à 8h…

Un beau parcours, à travers bois,et puis on monte,…une vue incroyable sur le Caroux, magnifique avec ce beau soleil qui commence à bien nous réchauffer d’ailleurs!!!! IL fait chaud donc mais que du bonheur, du roulant, des monotraces, du sous bois et des cailloux….surtout dans les descentes un peu techniques,si si Janot…tu n’as pas voulu affoler Domy mais elles etaient pas mal ces descentes!!!!J’ai adoré….:(…mais y ‘avait quand même de belles côtes et là j’étais CONTENTE!!!!! 🙂

Donc une belle course encouragée par notre coach fidèle à tous les endroits stratégiques….et que l’on entend  hurler dans tout le massif!!!! « TU LÂCHES RIEN ALLEZ!!!! »ça motive c’est sûr!!!Du coup je passe en tête des filles et je rattrappe même Chritophe qui me met tout de même un vent sur la partie plus roulante….

Tout le monde s’accroche, même Domy qui se voit contrainte d’arrêter la course pour cause d’hypoglicémie….On la récupère déçue certes mais décidée à prendre sa revanche l’an prochain!!!

Les Lacaunais n’ont pas démerité sur ce superbe trail et les résultats le confirment:

Résultats des podiums:

Le Lion second scratch sur le 16km

Virginie première féminine et 13é scratch sur le 16km,

Christophe 10é scratch, Janot 72é/175 sur le 16km

Cyrille 21é/120 sur le 33km

On retrouve ensuite Marie Claude, Marie et l’adorable petit Gabriel ainsi que Yvonne et Alain pour un moment trés convivial  , comme toujours….et tout le monde apprécie grandement le pique nique….même  ceux qui n’ont pas couru…. »ON N’EST PAS BIEN ICI!!?? »

🙂 🙂 🙂

Encore bravo à tous…et à la prochaine!!!!

VIRGINIE…..

RESULTATS: 16KM     33KM

 

Journée découverte

Ambiance sympathique pour cette 1ère journée de découverte de l’athlétisme organisée par l’athlétic club lacaunais. Une vingtaine d’enfants de 5 à 12 ans s’étaient donnés rendez-vous le samedi 23 septembre dans la salle de la Balme, pour une participation à l’animation proposée par les éducateurs du club local. Pas de classements, pas de performances, mais une série d’ateliers ludiques sous forme de courses, de sauts, de lancers, et une envie de se surpasser devant les parents venus les encourager. Une médaille et un goûter pour chaque athlète clôturaient cette manifestation qu’il serait peut-étre judicieux de renouveller. Un grand bravo à tous ces jeunes.

Semi-marathon de TOULOUSE

Pour la troisième année consécutive, je suis inscrit sur le semi-marathon de TOULOUSE et ses 21 Km.

 

En ce dimanche, le temps est couvert. Pleuvra t’il ? Tout le monde espère que non, et j’en fais bien évidemment partie. Même si la pluie ne me dérange pas plus que cela (j’aime pas le vent lorsque je cours), c’est quand même mieux de courir au sec.

 

Récupération du dossard avec un ami qui fera son premier semi. Comme d’habitude ici, la distribution est rapide. Cinq minutes suffisent pour entrer, attendre un peu, récupérer le dossard, donner la taille du maillot et recevoir le maillot de l’épreuve 2017 ! Rapide, efficace et avec le sourire. Comme chaque année à TOULOUSE. Bravo déjà aux organisateurs et bénévoles.

 

Pour ce qui est du maillot, je garde celui d’Imagine For Margo. Il est important de pouvoir le montrer dans ces épreuves. Le monde présent, les personnes qui posent des questions ou encore ceux qui le reconnaissent.

 

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

Question chrono, je ne me suis donné aucun temps à faire. Je suis toujours dans le cadre de l’entraînement marathon, donc les jambes sont habituées à courir à une certaine vitesse. De ce fait, on verra comment cela se présente au moment de l’échauffement et du départ.

 

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

Départ dans 35 mn. Il faut finir de se changer et de partir voir comment réagissent les jambes et le corps. Le pote lui partira beaucoup plus vite que moi. Il vise un chrono de 1h30. Du coup, il me demande ce que je compte faire. Je lance un 1h48/1h50. Le but étant de faire une sortie longue pour le marathon.

 

Échauffement terminé, je fais le check avec mon épouse pour les enfants malades. Une tradition maintenant depuis plus d’un an. Une pensée pour les enfants et leurs familles avant de rentrer dans « ma bulle » et la concentration de la course. Même si je le fais dans l’entraînement, il faut bien penser à sa course, sa respiration, se ravitailler etc… Pas si simple que cela de faire de la course à pied.

 

Je prépare les applications pour courir. Un petit mot sur la page Facebook et me voilà prêt. Comme sur chaque course, le speaker donne la parole aux organisateurs. Cela dure pas longtemps et le décompte commence.

 

Je sais que j’aurais deux tours à faire, je repasserais donc sur la ligne de départ trois fois en plus (une au départ, une au 1er tour et l’autre juste avant l’arrivée). Et c’est parti !

 

Je me lance dans les rues toulousaines. Il me faudra faire un tour dans certains quartiers en bordure de la rocade, puis dans une zone industrielle, une avant dernière partie sur le bord du canal du Midi, une grande rue toulousaine avant de passer devant le stade Enerst Wallon qui habite les matchs du Stade Toulousain en rugby. Autant dire que je connais bien les lieux. Puis une deuxième boucle!

 

 

La pluie n’est pas là, le vent jette quelques rafales mais rien de bien gênant. La seule chose qui me dérange c’est qu’en me préparant j’ai vu que je m’étais trompé de paire de chaussures…. Le nul ! J’ai pris celle qui n’a pas les semelles à l’intérieur. Je les ai depuis le premier semi-marathon ici car mon pied droit avait « chauffé » sous la plante du pied… Pas le choix, on fera avec. Du coup, cela me travaille pendant les quatre ou cinq premiers kilomètres.

 

Je suis parti vite. Je pensais pas partir à cette allure mais je suis sous (pour les runners) la barre des 5 mn/Km (4mn40 de moyenne). On va rester à cette allure le plus longtemps possible. Je l’avais fait sur le semi de BLAGNAC sur la moitié de la course alors on part pour faire pareil.

 

Le pied commence à chauffer au 6ème kilomètre. Je jure un peu. Je sais comment cela fait quand je ne peux pas poser le pied…Espérons. J’essaye de penser à bouger le pied dans la chaussure. Enfin, il chauffe toujours. Mais la vitesse descend pas. Elle est stable.

 

Fin de la première partie de la course et direction la grande ligne droite le long du canal du Midi. Pas de vent ! Ouf. Car là, s’il avait été présent nous l’aurions eu pleine face. A partir de ce moment, je vais comme d’habitude, me retrouvait tout seul.

 

Petit virage et direction le stade toulousain et le deuxième tour. Je double un petit groupe et j’aperçois mon épouse au 11ème Km, Elle me prend en photo et me demande comment va mon pied. « Il chauffe de plus en plus ». Petite grimace…. de chaque côté.

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

Le ravitaillement est juste après. Un verre pour boire et un pour le pied dans la chaussure. J’essaye de m’arroser la chaussure sans arrêter de courir mais je rate complètement mon coup. Tant pis. Là encore pas bon Manu. Le prochain ravito est dans 5 km. Faut que cela tienne.

 

Contrairement à BLAGNAC, je tente de rester à cette allure. Je termine la première heure de course à 12,7 km/h. Je m’attendais pas à courir comme cela. Alors on continue.

 

Pas de soucis particulier lors du deuxième tour, jusqu’au 17ème km. Le pied s’est mis à chauffer encore plus. « allez accroche toi, il reste 4 kilomètres. » Bizarre de penser cela ? Pas forcément quand on est coureur à pied. Certaines pensées pourraient faire rire beaucoup de personnes qui ne galopent pas. Elles nous prendraient pour des fous !

 

Les messages sur le téléphone, les encouragements sur les applications et ceux des bénévoles et du peu de public font que je tiens. Je félicite et remercie tous les bénévoles que je vois. Sans eux, pas de course. Je le fais avec mon club et je sais combien cela demande. Alors merci à tous et toutes !

 

Dernière ligne droite et direction le Stade Toulousain. Nous nous retrouvons à quelques coureurs espacés de quelques mètres. Chacun s’accroche à celui qui est devant. Nous doublons un coureur qui marche et chacun notre tour nous lui donnons une tape dans le dos pour qu’il s’accroche. Il reste un peu plus de 1 km. Allez !

 

A ce moment là, je me dis que cela fait un petit moment que le pied ne me gène pas. La douleur est là mais ne gène pas tant que çà. Coooool !

 

 

Dernier huit cent mètres. Entrée dans le stade, je dois faire le tour derrière les tribunes avant de faire un tour de la piste du stade avant de franchir la ligne d’arrivée. Il y a plus de monde à cet endroit. Quelques applaudissements.

 

Je regarde la montre et je me surprends avec ce chrono. Je serais forcément sous la barre des 1h45, Yes ! J’ai couru sans penser au chrono. Juste à une allure soutenue (pour moi) et prendre du plaisir à le faire et à montrer le beau maillot de l’asso ! C’est top.

 

Je n’accélère pas et je ralentis même un petit peu pour profiter de l’arrivée.

 

Dernière ligne droite et l’arche est devant moi. J’aperçois mon épouse et le copain juste derrière la ligne. Il ne reste que quelques mètres et comme d’habitude j’envoie un baiser à ma mère là haut. J’entends le bip de la puce qui indique que ma course est terminée.

Mon semi-marathon de TOULOUSE

 

1h43mn26 ! Belle course ! Surtout que le pote me dit qu’il a lui aussi terminé sous le chrono qu’il espérait ! Belle course encore !

 

L’avantage c’est que j’ai pu m’entraîner même sur la course, montrer le combat des enfants et me faire plaisir sur cette épreuve. Que du bonheur. En plus, je transmets mon temps à mon président de club à LACAUNE, sachant que beaucoup de licencié(e)s étaient sur un trail chez nos voisins. La réponse me surprend. Un selfie de tous ceux qui étaient là bas avec lui en disant « bravo on t’embrasse ». Génial ce club ! C’est super de se sentir épaulé. Aussi bien dans la course que pour l’association.

 

Dernier passage sur les réseaux sociaux pour dire que j’ai terminé. Et je vois un bon paquet de notifications. Des encouragements, des bravos. Alors cette fois, c’est à mon tour de vous remercier pour votre soutien !

 

A très bientôt

Mon semi-marathon de TOULOUSE

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