Courses Adultes

Course à Fonsegrives

course de fonsegrives en famille

La famille gil reprend du service (surtout les filles) après une longue pause…..

Nous voila partis pour 14km de course nature,

Départ 10h avec notre animateur préféré (le grand steph :))

Le soleil est au rendez vous; mais avec un vent violent perturbant le déroulement de la course mais rien n’arrête les gil’s

Nous terminons notre course contents de nous, pas de podium mais pas loin 

nous ne rentrerons pas bredouille puisque Mégane a gagné le vtt au tirage  au sort

Résultats:

74: GIL Francis AC LACAUNE FRA M M3H 1h15’53 à 21’19 11,32 4° M3H

90: GIL Megane AC LACAUNE FRA F SEF 1h19’48 à 25’14 10,77 5° SEF

140: GIL Marie AC LACAUNE FRA F M2F 1h34’26 à 39’52 9,10 4° M2F

A bientôt au semi de Toulouse

Lamalou : les Suc aiment la castagne

          Il semblerait que les coureurs de l’ACL sont moins vaillants qu’avant, il y a deux ou trois ans ? En tout cas, ils se précipitent beaucoup moins sur les courses du Parc. Ils étaient donc seulement deux sur les 23 km, et aucun sur le 10. Certes, il y avait des célèbres « entrées maritimes », mais de mon point de vue j’ai trouvé la pluie douce à mes bras nus. Et comme dit le maire de là-bas « Lamalou est une ville d’eaux » (ça peut marcher à Lacaune aussi).

Jean-Philippe, le bon Suc, ne s’en laisse pas compter. Au moins dans sa catégorie (M2). Enfin, sauf exception : « Dans une portion de descente un peu scabreuse, un V2, il s’appelle Assemat, m’a doublé avec autorité. Qu’est-ce que je pouvais faire : le suivre et me rompre les os ? » Jean-Philippe a déjà un pied dans le marathon de Toulouse, dimanche prochain. Bon courage, car même si le dénivelé n’était pas dantesque, et les pentes en général embrayables au (petit) trot, il faut quand même quelques jours pour gommer les effets des castagnes. Quant à moi, le moins bon des Suc, je me réjouissais d’avance : pas d’Édouard, ni de Pascal Gonthier, ni de Marco (où est-ce qu’il est passé celui-là ?), donc un boulevard pour être champion V3, enfin ! Eh bien, non, il y a des païbassols qui au lieu de jouer à la belote comme tous les vieux de leur âge, tiennent la route, ou plutôt les chemins. Perso, j’ai bien apprécié ce parcours, sans difficulté créée de toute pièce, et où je pouvais regarder mes pompes sans scrupule (épais brouillard), mais que la fin fut longue (et indécise avec un jeune mais résistant concurrent) pour revenir au casino ! À noter quand même, et je ne m’en réjouis pas : dans le top 10 de ce trail des castagnes, il y a quatre V2 (et au total 9 V2F sur 85 arrivants). Vous voulez plus fort ? D’accord ! Sur le 10 km, dans le Top 10, figurent 2 V3… Heureusement que le jeune et fringant Romain (Barthès, 23 ans) joue, et gagne (une fois de plus).

Lamalou (Trail des castagnes, 23 km)

  1. Romain Barthès en 1h 52’ 19… 8. Jean-Philippe Suc (2M2) en 2h 11’ 47… 51. (quel pastis !) André Suc en 2h 38’37 (3M3) (85 arrivants).

Trail de la passerelle

Dimanche 06 Octobre. Trail de la Passerelle 2019. Le plein de satisfactions et d’ émotions…

Aprés avoir fait le plein à la station essence Super U, nous voilà partis   pour Aussillon où se déroule le premier Trail de la Passerelle. Ce trail qui a fait le plein d’engagés présente deux parcours.

Le 12 km avec 300 inscrits, le 27 km avec 200 inscrits. Pour info 200 candidats étaient sur liste d’attente.

Le départ des parcours sera différencié : 9 h 00 pour le long, 10 h 00 pour le court. Ce départ s’effectue du stade, par Patrick Fonvieile qui, à pleine voix, lâche les participants.

On s’élance sur un petit kilomètre sur une des rares parties « asphaltées » à plein régime, comme d’habitude. Ce début de parcours commun nous amène à la croix d’Aussilon, puis on enchaîne sur une descente « plein pot » jusqu’au village. Descente qui ruinera les espoirs du fiston Hugo. Arrêt immediat : abandon.. Deux jambes tétanisées… (Peut-être un trop plein d’énergie pour débuter…).

Le parcours sera une succession de montées-descentes avec un premier passage sous la passerelle, un second sur, à vitesse réduite (marche) sous peine d’exclusion.

L’arrivée est toute proche, dans les faubourgs de Mazamet, après une ultime descente à « plein régime ». 

Si beaucoup de trailers en ont « plein les bottes », tous en ont pris « plein les yeux » depuis les hauteurs d’Aussillon, d’Hautpoul et de la Passerelle. Ce trail fait l’unanimité pour son profil, son tracé, son organisation… On applaudit à pleines mains….

Marco…A+ 

RESULTATS

12 Km         292 Arrivées                                                             27 Km     193  Arrivées                                       

1   BARTHES    Romain   1:00:41  1SEM                      1  FLORES Kévin        2:42:08     1 SEM

13  SUC Jean-Philippe     1:12:54  1V2M                      62 CAMBON  Eric       3:43:05   11 V2M

49  FABRE   Marc            1:23:51  2V3M                      63 HERAIL  Virginie   3:43:21   6 V1F

94  RASCOL Jean            1:33:34  3V3M

 

156 CAZALS Jérémy        1:43:51 52SEM     

10 km de Canet en Roussillon

Déplacement de notre junior Guilhem Rouquette aux championnats de France des 10 kilomètres à Canet, dimanche 6 octobre. Notre sociétaire en petite forme a réalisé tout de même une bonne performance en se classant à la 312ème place sur un total de 649 arrivants et la 75ème place dans sa catégorie. Bravo Guilhem, tu as dignement représenté les couleurs de l’ACL. Ce n’est que le début de la saison, tu auras largement le temps de prouver que tu peux faire beaucoup mieux.


Foulées Montredonnaise

Belle prestation de nos représentants lors des foulées de Montredon Labessonnié, dimanche 29 septembre. Au palmarès, 3 premières places pour Guilhem Rouquette en juniors, Hugo Fabre en espoirs et Jean Philippe Suc en masters 2. Dernier podium à la 3ème place pour Marc Fabre. Excellents résultats pour nos couleurs, avec en prime la participation dimanche 6 octobre de notre junior Guilhem aux championnats de France du 10 kilomètres à Canet. Félicitations à nos champions.

Millau : 100 km avec les stars

« Où que tu sois, Dieu te voit. » Cette sentence énoncée, lors d’une leçon de catéchisme, par M. le curé de Paulinet (Tarn) fait souffler sur l’enfant à qui elle s’adresse un vent de panique. Pire que dans les romans les plus noirs de science-fiction. Il en est tétanisé…

Le monde de l’image

Soixante ans après, il s’en souvient encore, même si ça ne l’a pas empêché d’endosser des initiatives variées, il est vrai règlementaires le plus souvent. Aujourd’hui dans le peloton s’étirant sur le ruban d’asphalte de Millau à Peyreleau, Dieu ayant moins d’influence, les hommes ont pris le relais : selfies, vidéos sous toutes les coutures. Et si les images ne suffisent pas, on rajoute textos, SMS, nouvelles instantanées : « Je suis au km 3 ; au ravito de Rivière ; le soleil vient de percer la couche de nuages… » À la façon dont ils doivent (ou s’imaginent ?) intéresser leur public, sans doute sont-ils des stars. Ce n’est pas le cas d’André Suc, pas cette année. Il est vrai que c’est un grand taiseux, encore plus en course. Pourtant, fort de sa grande expérience, il se croit autorisé à servir de mentor à Augustin (dossard 950), un campagnard palois novice sur la distance, au moins sur le goudron.

Trente-cinq, trente-six minutes au 5 km, voilà qui assure 12 h au final. Sinon, il se rabattra sur 12 h 30. Voire 12 h 54, pour battre le temps de 2018. Jusqu’au km 25, ça roule sans prêter attention. Km 30 : ah ! deux, trois minutes « de trop ». Faudrait pas trop lâcher maintenant. Km 35 : on est revenu dans les clous. Suit cette interminable approche de Millau. On va voir : s’il passe en 5 heures au marathon, toutes les éventualités sont encore possibles. Ne pas marcher surtout. Même dans la lente remontée vers le Parc de la Victoire ; de l’autre côté, ça ira tout seul pour redescendre. Dans le Parc, il entend des bourdonnements… le voisinage sans doute. Et, signalé par le speaker tarnais, est bien heureux d’arriver au comptoir du ravitaillement pour s’agripper, davantage que pour s’abreuver ou se restaurer, paramètres non négligés jusque-là.

Le « mental » aussi vieillit

    Trois ou quatre minutes plus tard, déjà 15 h 10. Faut y aller maintenant. Il marche, tranquille pour le moment. Et même un peu plus tard, à 15 h 15. 15 h 20 : itou, et le temps ne passe pas. Le pont Lerouge. Le km 45. Creissels. Sur l’allée d’en face, revient un athlète. Puis un autre, le regard ailleurs. Le soleil qui sort de plus en plus souvent, de plus en plus brûlant. Au-dessus des genoux, les muscles semblent comme enserrés dans des freins de remorque agricole. Et la jonction fémur et hanche (droits) qui manque d’huile. Le viaduc se dresse, si loin… À ce rythme, c’est un retour à Cabannes à 3 h 00 du matin. Et Gisèle (épouse et conductrice retour) qui est au cinéma.

Pas revu depuis une quinzaine de kilomètres, le Palois débouche de sa petite foulée : « Alors, ça va-t-il ? – Pas terrible, je crois que je vais abandonner… » Auparavant, je lui avais fait un laïus sur l’intermittence de la condition physique : durant les périodes de fatigue et lassitude extrêmes, il faut s’adapter, ne pas forcer son allure. Et un quart d’heure (ou un peu plus) après ce coup de bambou, la forme (relative) et l’envie revenaient. Il n’est pas au mieux, lui non plus. « Allez, courage ! » lui lancé-je, et ce sera notre dernier échange verbal. (Il finira en 14 h 45).

Ravito du km 96, …dans le sensdu retour : « J’abandonne. Puis-je vous laisser le dossard, ou dois-je le rendre à Millau ? – Ca va, monsieur ? Ou vous voulez que j’appelle un secouriste, ou la masseuse ? …La navette alors ? » Non, je rentrerai à Millau à pied, tranquille. Et discret, par égard aux concurrents en route pour la deuxième boucle. Car, avec mon débardeur de club, l’on pourrait encore penser que je suis un « athlète ». Où est la faille : canicule anti-entraînements, dispersion d’activités, insomnies partielles, 3 ou 4 kilos en plus, mauvaise adaptation des objectifs ? Autour de la montagne surplombant la ville, les deltaplanes tournoient. Ce matin, plus haut dans la vallée, c’était une compagnie de vautours. Eux, c’est sûr, ils nous auront la peau. C’est juste une question de temps.

Des athlètes admirables

17 h 30. Sur un banc, en face de la mairie et d’une possible sortie de cinéma, les pieds à l’air : « Bravo, bravo ! » Entouré de cyclistes, Hervé Seitz arrive, radieux. Les petits de l’école d’athlétisme vont ensuite l’accompagner, dès l’entrée dans le parc de la Victoire, jusqu’à la banderole. Une vraie star : quatrième victoire ici-même.

17 h 40, même banc. Un couple de vieux Millavois interroge : « Il est passé le premier ? », puis s’assied. Quelques échanges après, l’homme de 87 ans reprend : « Ah, de Lacaune. Le pays de la charcuterie. Murat aussi. Et aussi Moulin-Mage… Ah, c’est sur cette commune que vous habitez ? Mais il y avait bien un facteur qui était passé à la télé ? » Je vends la mèche un peu trop tôt. Et le vieux en m’examinant un peu mieux de reprendre : « Ah oui, maintenant que vous le dites, vous lui ressemblez…« Ce soir, à cause des 100 km, il aura raté une émission (Questions pour un champion) « qu’il ne manque jamais ».

Quant à André Suc, il faut bien se rendre à l’évidence : c’est une star. Oui, mais ça, c’était avant !

Monts de Saint Baudille

Compte rendu Trail des Monts de ST Baudille

Nous voici aujourd’hui 22 Septembre en banlieue mazamétaine et plus précisément à St Baudille. L’accueil se fait à la nouvelle salle des fêtes inaugurée récemment.

Cette année l’organisateur nous l’a fait à l’envers et le ressenti a été le même : c’était bien! (que ce soit dans un sens ou dans l’autre). La distance donc toujours égale et le profil similaire : on monte puis on descend mais qu’une fois… ça suffit pour une bonne suée.

Aprés les recommandations et encouragements du speeker au départ pour surtout « prendre du plaisir », c’est parti… tous ensemble et mélangés. Hommes, femmes, grands enfants s’élancent jusqu’à la première difficulté où des petits groupes se constituent… parfois ce sera même des couples. Ils se font et se défont au gré des obstacles pour se séparer souvent à la fin du parcours… sans une larme malgré ce lien qui s’ est tissé qui leur a fait vivre une expérience unique… C’est la vie diront certains pendant que d’autres se satisfairont d’avoir fait un bout de chemin ensembe.

A l’ arrivée des rapprochements autour du comptoir s’opèrent avec la dégustation de la traditionnelle bière. Le podium et la colation clôturent cette douce matinée et c’est l’heure de se quitter par une parole, une poignée de main, un sourire, une bise… un clin doeil !!!…. A bientôt pour des retrouvailles aussi intenses…

Résultats   96 Classés

1   PINEL  Aurélien         53:45

7   FABRE Hugo              59:48

10 SUC Jean-Philippe  1:01:30

45  FABRE Marc          1:13:14

Marco

Murat : Romain Barthès n°1

Cinq chiffres avant la virgule, tous des « 1 » : ainsi gagna romain Barthès. Mais nous sommes dans l’espace-temps : 1h11min11s. Une nouvelle ? Pas vraiment, le jeune Brassagais assurant les reportages en direct. La chaleur de ce dimanche 15 septembre sur les chemins dénudés montant au Cangrède lui imposant un arrêt fraîcheur au ravitaillement sis à 1030 m d’altitude, il dut cependant bagarrer pour en imposer ensuite à l’Albanais Yohann Camps.

Au-delà, les coureurs arrivent, le visage marqué par un ultime effort : la montée des marches. Même si là, ils sont soutenus par des bambins enthousiastes. Fourbus donc, et échelonnés, sauf un duo franchissant la ligne en même temps : le vétéran Pascal Gonthier et le local Lionel Gros. Ce dernier a l’avantage de connaître le parcours mieux que quiconque : avec son camarade Didier Piasco, il l’a balisé la veille. Un tandem qui avait du reste « pensé » cette boucle après la squelettique participation (42) de 2011. Présentement, avec 75 engagés, c’est le seul bémol retenu par le Comité d’animations organisateur, dans une 21e édition marquée par le succès de la visite du patrimoine (au musée des statues-menhirs cette année) concluant la journée. Et aussi par la participation des moutons de Candoubre, sans doute ayant eu écho de « Foulées bergères ». Mais eux ne s’étaient pas équipés de dossards…

Direction Murat sur Vèbre

Murat, c’est la prochaine course en Parc du Haut Languedoc. Coureurs, coureuses, rendez-vous le dimanche 15 septembre, pour Les Foulées de Saint Jacques. Soit 16,5 km (avec 500 m. de dénivelé) de chemins divers et variés d’abord (sur 6 km) réservés aux pèlerins de Compostelle. Ensuite, les bipèdes marcheront sur les traces des quadrupèdes (brebis, vaches, faune sauvage…), tout en s’élevant en haut de trois côtes, histoire de bénéficier du panorama.

Au final (comme en 2018), après la traversée de la prairie centrale, il faudra monter les marches conduisant au Palais des Festi… je veux dire à la salle du Petit Train. C’est là que tout à commencé : la course à 10 h, les inscriptions (ou retrait des dossards des préinscrits) à 8 h.

Si un lecteur coureur ACListe sait se servir des réseaux sociaux, qu’il en use sans réserve pour la com des Foulées de st Jacques. Merci

FSJ.Murat.19-001

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