Courses Adultes

Semi-marathon de Maraussan

La famille Gil, Marie Mégane et Françis, est vraiment une famille indissociable. Unis par la passion et la souffrance, ils ont donc participé au semi-marathon de Maraussan. Cette épreuve était prévu depuis longtemps car elle fait partie de leur plan d’entrainement en vue du prochain Marathon de Paris, prévu début avril.

« En bas » comme on dit chez nous, il faisait soleil ce dimanche matin. Mais qui dit soleil, veut dire vent. Et du vent il y en a eu. Des rafales « cent-kilométriques », qui, bien entendu, a rendu la course plus difficile. Néanmoins Mégane s’en tire plutôt bien, puisqu’elle remporta sa catégorie « espoir » dans un temps de 1h55m en compagnie de son papa. Sa maman termine pas trés loin derrière en 2h03.

Bravo à tous les 3.

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Inter-régionaux Cross-country à Mont de Marsan

Loïc et Yohann avaient obtenu leurs qualifications aux inters, grâce à leurs perfs lors des régionaux de Castres. Dimanche dernier, direction Mont de Marsan afin de participer à la demi-finale du championnat de France de cross-country. Le parcours était « roulant » et sablonneux , un digne avantage pour les pistards.

Yohann, certe novice dans l’épreuve, a participé à la course sénior (10 810m) et s’est classé  123é en 45m20s; Quant à Loïc, au top de sa forme, a obtenu une excellente 10éme place en 21m15s chez les juniors (6 105m) et participera donc à la finale qui se déroulera le 1er Mars aux Muraux (78). Bon courage à Loïc, tout l’A.C.L est avec toi.

RONDE GIVREE 2015

Du frais au vieux, des Gens bons dans la Ronde givrée

Les Gens bons : ils ont couru à perdre haleine, les crus, les secs, les blancs… Se taillant un beau succès d’estime auprès de l’animateur décryptant, durant six heures, le déroulement de cette 33e Ronde givrée de Castres. À l’arrivée, ils étaient tous « cuits ». Mais chez les « frais », aucune trace apparente de fatigue quelques minutes après avoir franchi, en onzième position, la ligne d’arrivée. Les pompiers 1 (18e) ont frisé le podium en corporatif, bien lancés qu’ils étaient par Guillaume Vieu. Pas de Marseillaise non plus pour l’équipe de « rances » (80e). Si la règle du jeu est d’extraire les plus véloces des 40 coureurs des Monts de Lacaune, citons : Loïc Jacob, Yohann Girabancas, Tristan Rascol, Fabien et Bastien Amalric, Guillaume Yeddou. Et lorsque l’élégance rime avec performance : Mégane Gil, Sonia Bardy et Coralie Spiritusanto.

Des jokers en exergue

Qui rit vendredi, dimanche galopera. Appelés de dernière heure pour suppléer les (nombreuses) défections, il convient de tirer un coup de chapeau face à la disponibilité et la vaillance de Quentin Granier, Guillaume Fages, Anthony Valette, Thierry Douang-Dara et Béatrice Cazabonne. « Bien mieux que des remplaçants », selon le coordinateur Éric Cambon.

Cette année, Lescure avait douze équipes engagées, soit deux de plus que les Lacaunais. Pour le podium, il fallait donc compter sur le retour des vieux des monts. Ils n’ont pas failli. Grâce à un Patrick Durand qui a laminé la concurrence sur le troisième parcours, les vieux gens bons ont même espéré, l’espace d’un moment, conquérir le titre chez les plus de 60 ans. À l’arrivée, ils devront cependant se contenter, comme en 2014, de la troisième place. Ainsi, pour les coureurs du cru, s’est clôturée l’édition. Ou presque, car durant quelques jours, certains, devant les marches d’escalier de leur logis, leur usine ou leur entreprise, adopteront la stratégie du crabe.

À signaler le site internet du club d’athlétisme : « aclacaune.fr ». Impeccablement tenu : l’on y retrouve des récits empreints de poésie, comme le récent périple du coureur de grand fond Lionel Gros. Sans doute le signe d’une association qui… court bien.

Légende photo : Tranche de sport et convivialité pour 40 MontsdeLacaunais.ronde 2015 podium V3 ronde 2015

Le chemin suit son « Cours »

Prendre la direction du Lot un dimanche de Janvier, c’est reprendre un peu de liberté, au gré du vent, et c’est finalement tout simple… Alors que les mauvaises nouvelles secouent la société, que les perspectives d’avenir paraissent incertaines, que peu de choses incitent au sourire…

Alors !, l’appel de la nature devient refuge, vital pour l’esprit. On prend ses « pompes », une réserve d’eau, de quoi « grailler » et on part courir. On se lance un nouveau défi, seul face à soi même.

Très vite dans la nuit, sorti des ruelles de Cours, le sentier s’élève devant moi et mes idées avec. Autour, le paysage s’ouvre à la lueur des frontales, à la chaleur des flambeaux. La gelée matinale scintille sous mes pieds, causses et vallons se mêlent à mes sensations. Et elles sont bonnes ! Le lion est en « pattes » fringuantes. Avec le peloton de tête, on s’enivre de l’air qui chauffe nos poumons, notre cœur bat la chamade face au soleil levant.

Ce trail de l’Aqueduc est splendide, il parle, il raconte une histoire. Car nous faisons exister le chemin en l’arpentant, en cherchant la trace, en pensant fort à nos rudes ancêtres. Le chemin existe parce qu’il a été tracé par d’autres, ne l’oublions jamais. Souvent il se fait falaise, ravine, escalier naturel ou aqueducs. Ce parcours marathon est bien pensé, il reflète cette passion commune du trail. Il incite à l’effort, à se dépasser, mais pas que… Car pour moi les lauriers et la « boîte » ne sont pas finalités. La course m’apporte la connaissance. D’une région et son terroir, de soi et de ses limites. L’apprentissage de l’humilité, ici pas de place à l’argent, aux classes ou au pouvoir, ici dans l’effort, la course à pied laisse chacun face à soi même.

La mi- course est derrière moi, parfois je ralentis la cadence pour laisser place au regard, au plaisir d’être là. Ce matin la lumière est superbe, le coin est attirant, sauvage, le sentier joueur au possible. Et parfois au détour d’une truffière mes papilles frétillent…

Le cap des 30 bornes est face à moi, tout devient plus raide, plus éprouvant. Un seul recours, le mental, quand je cours, je pense. Et souvent je plonge mon esprit dans l’affect. La famille, les amis, les amours, la vie quoi ! Ce n’est pas un acte gratuit, penser à quelqu’un c’est se mettre en sa présence. Du coup je cours en leur compagnie, ils deviennnent mon carburant.

Et sur ce final de l’Aqueduc, heureusement qu’ils étaient nombreux à soutenir mon esprit. Les éléments s’en mêlent, à 5km de l’arrivée, le calcaire du causse a raison de mes appuis, le lion est bien touché. Malgré la frustration, la colère, il faut repartir de l’avant, puiser dans ses ressources les plus profondes…je vous disais…la connaissance de soi ! Je m’accroche, je m’arrache face à l’adversité. Sur ce dernier tronçon c’est la totale, échelles, cordes, passage à l’eau et escalades, mais rien n’y fait, à l’approche de Cours, le lion est toujours là, plus fier que jamais. Deux concurrents m’ont repris, peu importe, une belle étoile m’attendait à l’arrivée, la souffrance est déjà loin , je repars sur le cours de mon chemin…

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Régionnaux de cross-country

Le domaine de Gourjade accueillait dimanche 25 Janvier les régionaux de cross-country.

Deux des nos licenciés étaient là pour représenter notre club. Tout d’abord, Loïc Jacob, notre champion du Tarn junior 2015. Aprés un départ au sprint, il vira en tête au premier virage. Puis le rythme devint de plus en plus  rapide, trop pour Loïc qui laissa partir la tête de course. Néanmoins il termine à une honorable 9éme place sur 37 participants. Chez les seniors, Yohann est allé au bout de lui-même. Le niveau ici était hyper élevé.  Au terme des 1001 mètres de course il franchit la ligne d’arrivée à la 50éme place.

Félicitations à nos deux coureurs qui grâce à leurs performances, ont obtenu leur qualification pour les inter-régionaux qui se dérouleront le Dimanche 8 Février à Mont de Marsan.

Entraînement du président et galette …des rois

Déçus. Forcément déçus. Les 12 athlètes présents pour la « Galette à Ricou » étaient venus pour la photo. Histoire d’épater leur « beauf », fidèle lecteur de la Dépêche du Midi. Bon, il faut bien sûr supporter de poser toujours devant le même lieu emblématique de Lacaune : le café Ricou. Alors qu’il y en a tant d’autres : la Fontaine des Pisseurs, le Jambon de fer, le séquoia du jardin public… Mais en plus, en ce dimanche 18 janvier 2015, ils ne sont pas devant l’envoyé spécial (Christian Calas) de la Dépêche et du Progrès saint-affricain réunis. Mais devant un quelconque novice qui ignore tout du mécanisme des Nikon et des Canon (« Et j’appuie où ? Euh… je sais pas si je l’ai prise »). Reconnaissons cependant que des « canons », le photographe en est pourtant spécialiste. Mais dans la distribution : c’est le barman. Et d’ailleurs, son outil n’est même pas un appareil photo, mais un télphone portable. Qui sans doute peut faire aussi, en lisant bien le mode d’emploi jusqu’au bout, aspirateur… Quelques athlètes ont oublié l’uniforme bleu ciel. Prudemment, pour éviter les camps de travail, ils glissent au deuxième rang. Derrière l’égouttoir de l’auvent, là où la postérité ne retiendra que les ombres d’un visage rond, ovale ou carré.

Et enfin c’est parti. Éric emmène la troupe : « Nous allons partir à contresens du 8 km puis, après le Maloya, revenir un moment dans le sens du trail. » Surprise, il y en a deux qui ont compris le message du premier coup : Jacques (Vieu) et Fabien (Amalric) qui connaissaient déjà le parcours. Les autres suivent gentiment sur la voie ferrée derrière le garage Citroën. « Ils l’on nettoyé », note Ricou. « Des ronces peut-être, pas des escoubilles », maugrée le Bossuc. « C’est vrai : ça fait trash. Je leur signalerai », s’engage le président. Peu après, succession de côtes et de descentes. Souvent sur un « monotrace » ; et encore faut bien le calculer. Alors, Hubert, ces courtes côtes, ces rampaillous comme on dit dans la langue d’ici, sympa non ? « Une horreur, souffle Hubert (Taru). À mon avis, ils cherchent à éliminer les vétérans. Mais ils peuvent toujours courir : je suis pas prêt de lâcher. Têtu je suis né, têtu je reste : c’est pas pour rien que je suis Breton. » Un peu plus haut, c’est le terrain du moto-cross, puis le chemin (carrossable) du Castell. « Et dire que quand j’étais jeune, il fallait prendre la faucille si on voulait passer en moto ou vélo, tellement c’était étroit, se souvient Daniel (Cambon). C’était avant la civilisation des loisirs. » Quelques siècles plus tard, le coiffeur continue à débroussailler les collines. Plus loin, ce sont les deux chiens de chasse de Jacques (Vieu) : ils accueillent les sportifs avec autant d’ardeur que les supporters stéphanois quand leur équipe entre au stade Geoffroy-Guichard. Au-dessus, le satellite Galiléo. Il s’est mis en position géostationnaire juste à l’aplomb de la montre de Céline (Bouquet) : « Il n’y a pas le compte : ça ne fait pas 10 km. » Mais le boss tempère : « Le temps qu’on rentre, il sera onze heures. Et puis il y a la galette. » Chemin faisant, la troupe croise un autre athlète : Yannick (Biau). Lui a un entraîneur particulier : son chien de traîneau.

Ainsi la colonie se retrouve au café Ricou, autour de deux galettes. La distribution ne s’étant pas faite sous contrôle d’huissier, le Bossuc se retrouve avec la part du roi et de la reine. Mais cet hybride ne se laisse pas étrangler par les fèves. Ni, au moment de se couvrir des deux couronnes, par la modestie : « De toutes façons, j’ai l’habitude : je suis déjà le roi des podiums. » Chiche. Prochain rendez-vous d’importance pour le commun des licenciés : la Ronde givrée le 1er février. Le temps est révolu où le sélectionneur s’ingéniait à faire des équipes au temps final homogène. L’heure est venue de la peerformance : objectif top 10 pour l’équipe phare, podiums catégoriels pour d’autres, quantité pour l’ensemble. Un piment qui permet de bonifier la préparation et de déclencher une adrénaline positive. Pas de pression à outrance cependant : comme des gosses, vivons l’instant. Car, huit jours après, il n’est pas certain que quiconque se souvienne de nos « exploits » (ou contre-performances). Comme dit Johnny (Halliday) dans sa chanson : « Cours plus vite Charlie, et tu gagneras… »

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Départementaux de cross à Saint-Juery

Loïc Champion du Tarn chez les juniors.

Le crachin de la matinée avait laissé la place à un froid soleil hivernal pour ces départementaux 2015 de cross-country, au stade de l’Albaret à Saint-Juéry. Comme il se doit, c’est par un hommage aux victimes des attentats de la semaine qu’a commencé la manifestation, les organisateurs préférant la minute d’applaudissement à la minute de silence pour l’hommage dû aux victimes. 331 athlètes ont terminé les épreuves, avec un bel équilibre hommes-femmes parmi les participants, et des lauriers partagés entre les clubs.

Coté lacaunais, l’aprés-midi commençait bien avec la victoire de Loïc Jacob de Lacaune . Champion du Tarn en 2014, il remettait son titre en jeu. Excellente course de Loïc  qui fut talonné par Maxime Cot de Puygouzon, Anthony Hann de Carmaux, Bastien Amalric termine hélas au pied du podium. A noté que Loïc a couru les 5420m en 18m07s ce qui fait une moyenne de 18km/h, hallucinant!!

Ensuite vint la course des As avec, chez les seniors Yohann Girabancas, et chez les vétérans, Lionel Maffre, Ricou et Hubert Taru. 9850m un cross trés long mais pas du tout difficile, que du plat. Coté perf, sur 38 participants, Yohann termine 7é et 4é de sa catégorie (flûte, encore un podium manqué!), Lionel 22é, Ricou 27é et Hubert 38é (hem! faut bien un premier et un dernier).

Chez les filles, superbe course de Yolande Culié puisqu’elle termine 3é des V2, Laurie Taru 4é. Elles ont souffert mais étaient ravies de leurs performances. Tant mieux!

En photo, le podium de Loïc, puis le podium de ceux qui ne sont jamais sur le podium.

Résultats:ICI

Bientôt les photos des filles…..

Cross de Payrin

La saison de cross bat son plein, c’est à Payrin que les crossmans du département se sont retrouvés pour participer au 45é cross Guillaume Gomez. Temps idéal (14°), le terrain est gras mais l’accroche est correcte. Au programme, 3 grandes boucles pour le cross long. 13h15 c’est parti, à fond!! Yohann part devant avec les meilleurs. Ricou et Lionel adoptent un rythme moins rapide. Au 1er tour, Yohann est pointé 7é sur 52 partants, derrière çà revient, il s’accroche, il a la gnaque (dixit le lion), mais ne peut rien faire face au retour d’un concurrent qui le passe à 300m de l’arrivée. Il termine 8é en 28m22s, mais second dans sa catégorie, senior. Derrière Ricou fait le lièvre pour Lionel. A l’entame du dernier tour, il commence a fléchir, Lionel en a gardé sous la semelle, il le passe, son rythme est devenu trop rapide et Ricou lache. Bravo à Lionel qui, poursuivant son effort, double 4 coureurs de plus et termine 21é en 30m39s. Enfin Ricou arrive 30s après, il est 26é et échoue au pied du podium V2.

Trail du Böer (Moussan 11)

Réveil 5h30……Pffff je me lève ou non…..bon allez un petit éffort,ce trail on t’a dit qu’il était facile (je le retiens celui là)

fin prête,Francis a déja chauffé la voiture ça m’arrange un peu, 7°s’affiche…

 

Arrivés à Moussan,nous cherchons le seul Lacaunais…..(le lion)à notre avis, il est déja parti ,on ne verra même pas son dossard

8h30 départ temps ideal ……Nous démarrons avec nos bonnets de Père noël éclarés…

Maria passe devant ,Francis en bon papa reste avec sa fille,Marie en bonne Maman reste derrière(au cas ou elle se perdrait 🙂

1heure de course…..nous avons perdu Mégane…je pense qu’elle n’est pas sortie hier et n’a pas gouté à ses mojitos ,on ne l’a retrouvera qu’à l’arrivée.

Parcours un peu argileux….mais tellement agréable qu’on se laisse prendre au jeu et que l’on ne regrette pas le reveil matinal.

2 heures,les mollets chauffent,le reste aussi……nous avons une pénsée pour nos copines Lacaunaises …on en bave…

Tiens! mais que fait Francis ….en bon samaritain….il recupère ses brebis égarées…..oui par endroit les gens se perdent….enfin surtout maria

mais on ne craint plus rien on a Francis

et il restera avec nous jusqu’à l’arrivée que nous passerons en 2h57…..

Nous retrouvons Mégane…un peu épuisée, par son premier long trail ,mais tellement heureuse de l’avoir fait et elle couronne le tout par un podium en se classant deuxieme espoir féminin (on est trop fier)

Bref très belle course vallonnée,pas si facile que ça….Nous rattrapons le challenge des Lacaunais…..c’est à dire cumul des kilomètres…..

Prochaine course….la ronde givrée

Marie

 

Quant au Lion, il récidive sa perf de l’année dernière en rentrant dans le top 10, 8é en 1h53m, et toujours la gniaque le bougre!!

 

 

 

 

classement boer 2014

Trail bu Böer 2014

Cross internationnal de Carmaux (bis)

Dimanche 30 novembre, le cross international Hubert-André a soufflé ses 20 bougies au parc de la Verrerie et la fête a été  belle, avec des coureurs venus de France, de Midi-Pyrénées, du Tarn, mais aussi du Burundi, du Kenya, d’Éthiopie, de Russie et d’Ukraine.

Aujourd’hui classé 6e cross hexagonal, l’épreuve organisée par l’USCarmaux Athlé est devenue une référence et les cadors de la spécialité tiennent absolument à inscrire la course blayaise sur leur agenda et sur leur CV.

Mais le cross international, c’est aussi une manifestation populaire et conviviale, une grande fête à laquelle tout le monde peut participer, enfants et parents, entreprises et associations, familles et bandes de copains.

L’A.C.L se devait d’être représenté et c’est ainsi que Le Lion et Ricou se trouvèrent sur la ligne de départ pour en découdre avec l’élite mondial. Le parcours rendu glissant par la pluie et le passage incessant des précédentes  catégories, nos deux lascars ont bien eu du mal a se tenir debout, faute de ne pas avoir investi dans des « pointes ». Malgré cela, ce fût une épreuve fort agréable et qui permet d’évaluer la place que l’on tient dans ce milieu qu’est la course à pied. Résultat: le lion termine 98é en 34m21s, Ricou 108é en 35m43s sur 146. Hum, restait plus grand monde derrière!

Plutôt dans la matinée, un autre A.c.L iste a participé au cross court. Il s’agit du junior Loïc qui se hissa à la 6é place sur 30.

Félicitations à tous les 3.

Ci-dessous une vidéo du départ de la course élite, ou l’on voit Le Lion a la limite de la chute, imité, un peu plus loin, par Ricou qui ne se laisse pas doubler facilement.

 

 

 

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