Dimanche 22 février, avait lieu à Sorèze, les interclubs départementaux en salle des catégories benjamines, benjamins. Nos 4 fidèles représentants de l’ACL étaient bien décidés à représenter dignement les couleurs du club. Chez les filles, Lorène Galonnier obtenait un total de 58 points sur l’ensemble des 3 épreuves, 6″1 au 30 m, 7″4 au 30 m haies et 8,16 m au pentabond. Chez les garçons, excellents résultats pour Vincent Soriano avec 71 points, suivie d’Alexis Houlès, 66 points et enfin Nicolas Boucher, 62 points. A noter la belle performance de Nicolas au saut en hauteur avec un bond à 1,26 m. Un grand bravo à tous les 4. Prochaine sortie à Albi le 4 avril lors de la 1° journée des brassages qualificative pour la finale départementale du 23 mai à Castres. Le 7 mars déplacement des plus jeunes pour le cross départemental qui se déroulera à Lavaur.
Inter-régionaux Cross-country à Mont de Marsan
Loïc et Yohann avaient obtenu leurs qualifications aux inters, grâce à leurs perfs lors des régionaux de Castres. Dimanche dernier, direction Mont de Marsan afin de participer à la demi-finale du championnat de France de cross-country. Le parcours était « roulant » et sablonneux , un digne avantage pour les pistards.
Yohann, certe novice dans l’épreuve, a participé à la course sénior (10 810m) et s’est classé 123é en 45m20s; Quant à Loïc, au top de sa forme, a obtenu une excellente 10éme place en 21m15s chez les juniors (6 105m) et participera donc à la finale qui se déroulera le 1er Mars aux Muraux (78). Bon courage à Loïc, tout l’A.C.L est avec toi.
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Challenge départemental Carmaux
Samedi 31 janvier,se déroulait à Carmaux dans la salle du Lycée Jean Jaurès, la 1ère journée du challenge départemental des catégories poussines, poussins. 5 épreuves au menu de la journée: le 30m, le 30m haies, le pentabond, le saut en hauteur et le lancer de médecine ball. Belles performances de Justine Canac-Castan avec un total de 71 points sur l’ensemble des épreuves, suivie de Ysée Vergely, 40 points, Maya Visse-Casteignau 32 points et Sarah Sicard 29 points. A noter la 5ème place de Justine au classement général sur un effectif de 70 athlètes classées. Félicitations à toutes les 4 pour ces bons résultats. La 2ème journée de ce challenge aura lieu le 7 mars à Lavaur. Prochaine sortie des benjamines, benjamins à Sorèze le dimanche 22 février à Sorèze.
Photo: 1er rang: Sarah
2ème rang: Justine, Maya, Ysée et Mélanie Caron.
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RONDE GIVREE 2015
Du frais au vieux, des Gens bons dans la Ronde givrée
Les Gens bons : ils ont couru à perdre haleine, les crus, les secs, les blancs… Se taillant un beau succès d’estime auprès de l’animateur décryptant, durant six heures, le déroulement de cette 33e Ronde givrée de Castres. À l’arrivée, ils étaient tous « cuits ». Mais chez les « frais », aucune trace apparente de fatigue quelques minutes après avoir franchi, en onzième position, la ligne d’arrivée. Les pompiers 1 (18e) ont frisé le podium en corporatif, bien lancés qu’ils étaient par Guillaume Vieu. Pas de Marseillaise non plus pour l’équipe de « rances » (80e). Si la règle du jeu est d’extraire les plus véloces des 40 coureurs des Monts de Lacaune, citons : Loïc Jacob, Yohann Girabancas, Tristan Rascol, Fabien et Bastien Amalric, Guillaume Yeddou. Et lorsque l’élégance rime avec performance : Mégane Gil, Sonia Bardy et Coralie Spiritusanto.
Des jokers en exergue
Qui rit vendredi, dimanche galopera. Appelés de dernière heure pour suppléer les (nombreuses) défections, il convient de tirer un coup de chapeau face à la disponibilité et la vaillance de Quentin Granier, Guillaume Fages, Anthony Valette, Thierry Douang-Dara et Béatrice Cazabonne. « Bien mieux que des remplaçants », selon le coordinateur Éric Cambon.
Cette année, Lescure avait douze équipes engagées, soit deux de plus que les Lacaunais. Pour le podium, il fallait donc compter sur le retour des vieux des monts. Ils n’ont pas failli. Grâce à un Patrick Durand qui a laminé la concurrence sur le troisième parcours, les vieux gens bons ont même espéré, l’espace d’un moment, conquérir le titre chez les plus de 60 ans. À l’arrivée, ils devront cependant se contenter, comme en 2014, de la troisième place. Ainsi, pour les coureurs du cru, s’est clôturée l’édition. Ou presque, car durant quelques jours, certains, devant les marches d’escalier de leur logis, leur usine ou leur entreprise, adopteront la stratégie du crabe.
À signaler le site internet du club d’athlétisme : « aclacaune.fr ». Impeccablement tenu : l’on y retrouve des récits empreints de poésie, comme le récent périple du coureur de grand fond Lionel Gros. Sans doute le signe d’une association qui… court bien.
Légende photo : Tranche de sport et convivialité pour 40 MontsdeLacaunais.
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RONDE GIVREE (mise à jour de la compo des équipes)
5 de nos coureurs ont été contraint de déclarer forfait, voici la nouvelle composition des équipes de l’A.C.L.
1 Les Gens Bons Cuits de Lacaune:
Gil Mégane—-Taru Laurie—-Cambon Daniel—-Gil Marie Catégorie: mixte 3
2 Les Gens Bons Blancs de Lacaune:
Bouquet Céline—-Rascol Marie—-Taru Hubert—-Culié Yolande Catégorie: mixte 3
3 Les Gens Bons Crus de Lacaune:
Maffre Lionel—-Bardy Sonia—-Valette Anthony—-Doung Dara Thierry Catégorie: mixte 1
4 Les Gens Bons Secs de Lacaune:
Bardy Véronique—-Cazabonne Béatrice—-Biau Yannick—-Jacquier Maria Catégorie mixte 3
5 Les Vieux Gens Bons de Lacaune:
Gil Francis—-Valette Alain—-Durand Patrick—–Suc André Catégorie: V3
6 Les Gens Bons Rances de Lacaune:
Granier Quentin—-Rascol Jean—-Fages Guillaume—-Cambon Eric Catégorie: Senior
7 Les Gens Bons Frais de Lacaune:
Jacob Loïc—-Girabancas Yohann—-Amalric Fabien—-Amalric Bastien Catégorie: Senior
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Le chemin suit son « Cours »
Prendre la direction du Lot un dimanche de Janvier, c’est reprendre un peu de liberté, au gré du vent, et c’est finalement tout simple… Alors que les mauvaises nouvelles secouent la société, que les perspectives d’avenir paraissent incertaines, que peu de choses incitent au sourire…
Alors !, l’appel de la nature devient refuge, vital pour l’esprit. On prend ses « pompes », une réserve d’eau, de quoi « grailler » et on part courir. On se lance un nouveau défi, seul face à soi même.
Très vite dans la nuit, sorti des ruelles de Cours, le sentier s’élève devant moi et mes idées avec. Autour, le paysage s’ouvre à la lueur des frontales, à la chaleur des flambeaux. La gelée matinale scintille sous mes pieds, causses et vallons se mêlent à mes sensations. Et elles sont bonnes ! Le lion est en « pattes » fringuantes. Avec le peloton de tête, on s’enivre de l’air qui chauffe nos poumons, notre cœur bat la chamade face au soleil levant.
Ce trail de l’Aqueduc est splendide, il parle, il raconte une histoire. Car nous faisons exister le chemin en l’arpentant, en cherchant la trace, en pensant fort à nos rudes ancêtres. Le chemin existe parce qu’il a été tracé par d’autres, ne l’oublions jamais. Souvent il se fait falaise, ravine, escalier naturel ou aqueducs. Ce parcours marathon est bien pensé, il reflète cette passion commune du trail. Il incite à l’effort, à se dépasser, mais pas que… Car pour moi les lauriers et la « boîte » ne sont pas finalités. La course m’apporte la connaissance. D’une région et son terroir, de soi et de ses limites. L’apprentissage de l’humilité, ici pas de place à l’argent, aux classes ou au pouvoir, ici dans l’effort, la course à pied laisse chacun face à soi même.
La mi- course est derrière moi, parfois je ralentis la cadence pour laisser place au regard, au plaisir d’être là. Ce matin la lumière est superbe, le coin est attirant, sauvage, le sentier joueur au possible. Et parfois au détour d’une truffière mes papilles frétillent…
Le cap des 30 bornes est face à moi, tout devient plus raide, plus éprouvant. Un seul recours, le mental, quand je cours, je pense. Et souvent je plonge mon esprit dans l’affect. La famille, les amis, les amours, la vie quoi ! Ce n’est pas un acte gratuit, penser à quelqu’un c’est se mettre en sa présence. Du coup je cours en leur compagnie, ils deviennnent mon carburant.
Et sur ce final de l’Aqueduc, heureusement qu’ils étaient nombreux à soutenir mon esprit. Les éléments s’en mêlent, à 5km de l’arrivée, le calcaire du causse a raison de mes appuis, le lion est bien touché. Malgré la frustration, la colère, il faut repartir de l’avant, puiser dans ses ressources les plus profondes…je vous disais…la connaissance de soi ! Je m’accroche, je m’arrache face à l’adversité. Sur ce dernier tronçon c’est la totale, échelles, cordes, passage à l’eau et escalades, mais rien n’y fait, à l’approche de Cours, le lion est toujours là, plus fier que jamais. Deux concurrents m’ont repris, peu importe, une belle étoile m’attendait à l’arrivée, la souffrance est déjà loin , je repars sur le cours de mon chemin…
R.D.V départ Lacaune pour la Ronde
Le départ pour Castres est fixé à 7h00 depuis chez « Ricou ».
Le 1er relayeur partira du Parc expo à 9h00. Pour info, le second relayeur devra être prêt aux alentours de 10h, le 3éme entre 10h30 et 11h et le 4éme à partir de 11h30.
A dimanche.
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Réginaux Lancer long et régionaux benjamins
Deux rendez-vous importants ce week end pour les athlètes de l’Athlétic Club Lacaunais. Samedi 24 janvier se disputait à Toulouse le championnat régional des lancers longs. C’était l’occasion pour Patricia et Mélanie Caron de participer à leur 1ère épreuve de la saison. 13,93m au lancer de javelot pour Patricia Caron qui depuis le début de la saison avait décidé de se préparer dans cette discipline. Objectif atteint pour notre représentante. Mélanie caron parvenait à prendre la 2ème place du concours avec un jet à 22,69m et malgré une météo glaciale réussissait au lancer de marteau une belle performance à 27,74m. Un grand bravo à toutes les 2 pour leur prestation. Le lendemain, sur le domaine de Gourjade à Castres, se déroulait le championnat régional de cross des catégories benjamins à vétérans. Malgré un vent fort et des températures glaciales nos 3 benjamins prenaient part à la course. Meilleure place pour Alexis Houlès, Vincent Soriano et Nicolas Boucher terminant respectivement à la 95ème et 96ème place. Tous les 3 ont prouvé qu’ils avaient beaucoup de courage et puis comme dit le proverbe: l’important n’est pas de vaincre mais de participer. Félicitations à nos 3 Lacaunais. Prochain déplacement samedi 31 janvier à Lavaur pour les poussines, poussins à l’occasion de la 1ère journée du challenge départemental.
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Régionnaux de cross-country
Le domaine de Gourjade accueillait dimanche 25 Janvier les régionaux de cross-country.
Deux des nos licenciés étaient là pour représenter notre club. Tout d’abord, Loïc Jacob, notre champion du Tarn junior 2015. Aprés un départ au sprint, il vira en tête au premier virage. Puis le rythme devint de plus en plus rapide, trop pour Loïc qui laissa partir la tête de course. Néanmoins il termine à une honorable 9éme place sur 37 participants. Chez les seniors, Yohann est allé au bout de lui-même. Le niveau ici était hyper élevé. Au terme des 1001 mètres de course il franchit la ligne d’arrivée à la 50éme place.
Félicitations à nos deux coureurs qui grâce à leurs performances, ont obtenu leur qualification pour les inter-régionaux qui se dérouleront le Dimanche 8 Février à Mont de Marsan.
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Entraînement du président et galette …des rois
Déçus. Forcément déçus. Les 12 athlètes présents pour la « Galette à Ricou » étaient venus pour la photo. Histoire d’épater leur « beauf », fidèle lecteur de la Dépêche du Midi. Bon, il faut bien sûr supporter de poser toujours devant le même lieu emblématique de Lacaune : le café Ricou. Alors qu’il y en a tant d’autres : la Fontaine des Pisseurs, le Jambon de fer, le séquoia du jardin public… Mais en plus, en ce dimanche 18 janvier 2015, ils ne sont pas devant l’envoyé spécial (Christian Calas) de la Dépêche et du Progrès saint-affricain réunis. Mais devant un quelconque novice qui ignore tout du mécanisme des Nikon et des Canon (« Et j’appuie où ? Euh… je sais pas si je l’ai prise »). Reconnaissons cependant que des « canons », le photographe en est pourtant spécialiste. Mais dans la distribution : c’est le barman. Et d’ailleurs, son outil n’est même pas un appareil photo, mais un télphone portable. Qui sans doute peut faire aussi, en lisant bien le mode d’emploi jusqu’au bout, aspirateur… Quelques athlètes ont oublié l’uniforme bleu ciel. Prudemment, pour éviter les camps de travail, ils glissent au deuxième rang. Derrière l’égouttoir de l’auvent, là où la postérité ne retiendra que les ombres d’un visage rond, ovale ou carré.
Et enfin c’est parti. Éric emmène la troupe : « Nous allons partir à contresens du 8 km puis, après le Maloya, revenir un moment dans le sens du trail. » Surprise, il y en a deux qui ont compris le message du premier coup : Jacques (Vieu) et Fabien (Amalric) qui connaissaient déjà le parcours. Les autres suivent gentiment sur la voie ferrée derrière le garage Citroën. « Ils l’on nettoyé », note Ricou. « Des ronces peut-être, pas des escoubilles », maugrée le Bossuc. « C’est vrai : ça fait trash. Je leur signalerai », s’engage le président. Peu après, succession de côtes et de descentes. Souvent sur un « monotrace » ; et encore faut bien le calculer. Alors, Hubert, ces courtes côtes, ces rampaillous comme on dit dans la langue d’ici, sympa non ? « Une horreur, souffle Hubert (Taru). À mon avis, ils cherchent à éliminer les vétérans. Mais ils peuvent toujours courir : je suis pas prêt de lâcher. Têtu je suis né, têtu je reste : c’est pas pour rien que je suis Breton. » Un peu plus haut, c’est le terrain du moto-cross, puis le chemin (carrossable) du Castell. « Et dire que quand j’étais jeune, il fallait prendre la faucille si on voulait passer en moto ou vélo, tellement c’était étroit, se souvient Daniel (Cambon). C’était avant la civilisation des loisirs. » Quelques siècles plus tard, le coiffeur continue à débroussailler les collines. Plus loin, ce sont les deux chiens de chasse de Jacques (Vieu) : ils accueillent les sportifs avec autant d’ardeur que les supporters stéphanois quand leur équipe entre au stade Geoffroy-Guichard. Au-dessus, le satellite Galiléo. Il s’est mis en position géostationnaire juste à l’aplomb de la montre de Céline (Bouquet) : « Il n’y a pas le compte : ça ne fait pas 10 km. » Mais le boss tempère : « Le temps qu’on rentre, il sera onze heures. Et puis il y a la galette. » Chemin faisant, la troupe croise un autre athlète : Yannick (Biau). Lui a un entraîneur particulier : son chien de traîneau.
Ainsi la colonie se retrouve au café Ricou, autour de deux galettes. La distribution ne s’étant pas faite sous contrôle d’huissier, le Bossuc se retrouve avec la part du roi et de la reine. Mais cet hybride ne se laisse pas étrangler par les fèves. Ni, au moment de se couvrir des deux couronnes, par la modestie : « De toutes façons, j’ai l’habitude : je suis déjà le roi des podiums. » Chiche. Prochain rendez-vous d’importance pour le commun des licenciés : la Ronde givrée le 1er février. Le temps est révolu où le sélectionneur s’ingéniait à faire des équipes au temps final homogène. L’heure est venue de la peerformance : objectif top 10 pour l’équipe phare, podiums catégoriels pour d’autres, quantité pour l’ensemble. Un piment qui permet de bonifier la préparation et de déclencher une adrénaline positive. Pas de pression à outrance cependant : comme des gosses, vivons l’instant. Car, huit jours après, il n’est pas certain que quiconque se souvienne de nos « exploits » (ou contre-performances). Comme dit Johnny (Halliday) dans sa chanson : « Cours plus vite Charlie, et tu gagneras… »
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