Courses Adultes

Trail de Lapanouse de Cernon

Parc Naturel Régional des Grands Causses, une distance de 17,5km pour 700m de dénivelé..dur pour une course nature entre chemin forestier et monotrace pas de répit entre descente et monter magnifique paysage au niveau des grands causses.

Domy finissant 1v1  4scratch feminin Christophe cherche encore le chemin !

Signé famille Chitit !!

Domi Lapanouse

La Mérinos

Vendredi 10 juin 2016 = La MERINOS à MAZAMET !

Nous étions nombreux de l’ACL à venir à cette soirée… arrosée !

Arrosée pourquoi ? Simplement parce que nous sommes accueillis par un orage digne de soirées d’été ! Le temps de sortir de la voiture et d’aller chercher les dossards, nous sommes trempés jusqu’à l’os ! Cela s’annonce mal pour la course cry

Même si la course des enfants est annulée à cause des précipitations et des éclairs, les autres épreuves prévues devraient avoir lieu. A peine, les petits reçoivent ils leur médaille quand même que le ciel se calme. La pluie s’arrête. Mais pour combien de temps ? Affaire à suivre !

La liste des coureurs du club :

Eva N, Bastien A (dur de le trouver sur le classement avec son prénom de kénian), Christophe et Dominique T, Tatiana D, Emmanuel R, Yohann G, André S. et Pierre B.

Yohann, Eva et Pierre faisant le challenge sur les 3 km du parcours. Un relais où tout le monde part ensemble et le temps des 3 coureurs sera additionné pour le classement final.

Le départ du challenge est donné et cela va aller très vite. La pluie ne fera pas son retour mais la chaussée est quand même bien mouillée. Malgré cela les chronos s’affolent pour nos lacaunais.

Yohan qui revient de blessure se classe troisième en 11mn15sec, avec de bonnes sensations, pour les puristes cela fait du 16km/h de moyenne ! Rien que çà no!!!

A peine arrivé, il donne des conseils aux camarades inscrits sur le 10 km qui partiront dans 15 mn.

Pierre arrive lui aussi à toutes enjambées ! Un chrono de 12mn53 sec ! Bravo ! A peine la ligne passée, nous voyons débouler Eva ! Elle passe la ligne en 13mn20 sec !!! Beau résultat de nos coureurs qui se classent troisième au challenge ! Et une médaille de bronze de plus pour l’ACL !

 

Puis c’est au tour des coureurs du 10 km de se placer sur la ligne de départ. Trois tours de 3,33km et une ligne de départ décalée de 100m pour faire le compte.

André, sûr de lui, se place… en dernière position. Il ne pourra que doubler ! Belle tactique qui doit aider le moral à chaque dépassement.

Bastien, favori dans sa catégorie, se cale dans le premier rang. Le speaker, à la vue de notre coureur, le présente au public en annonçant qu’il est invaincu dans sa catégorie ! Pas sûr que cela lui ait mis la pression d’ailleurs !

Christophe, Dominique, Tatiana et Manu se placent, eux, dans le peloton.

Un départ un peu traître pour les moins aguerris. Trois cent mètres de descente avant un premier virage à angle droit à gauche.

Le micro ne fonctionnant pas à 100 m de l’arrivée, le speaker le donnera à la voix. Les 150 coureurs se préparent et le décompte se fait. 3, 2, 1, 0 !

Le départ comme prévu se fait très rapidement… La descente joue bien son jeu ! Le public malgré le temps incertain est présent et encourage le premier passage des participants ! Belle ambiance.

Une seule photo mais 3 lacaunais !

Sur cette course, les runners font attention aux bandes blanches des croisements, stop ou encore des passages piétons. Oh non pas pour respecter le code de la route (la route étant fermée aux véhicules) mais pour éviter toutes glissades ou entorses.

A l’arrivée de Manu dans le parc, il peut voir Christophe au milieu de ce parcours, Bastien déjà sorti et les entrées de Tatiana et Dominique. Sympa !

Le parcours fait passer les coureurs dans le parc, puis la voie verte… qui porte mal son nom ce soir de juin. L’orage l’a plus rendue boueuse que «verte». Puis une petite côte et enfin le passage sur la ligne.

Yohann a eu la gentillesse de se placer sur le parcours afin d’encourager chaque coureur et coureuse du Club ! C’est top ! Un mot d’encouragement pour tous, cela aide le moral ! Et cela sera la même chose à chaque passage ! Merci Yohann !

Fin du premier tour ! Le public est déjà moins présent.

La raison est simple ! En ce 10 juin 2016, l’équipe de FRANCE de football joue son premier match de l’EURO. Au passage devant les bars locaux, les visages qui regardaient les coureurs au premier passage, sont braqués sur la télévision. De temps en temps, un client annonce aux coureurs que le score est de zéro-zéro et même « et les gars vous manquez rien ! On n’est pas bon !». Cela fait sourire mais on se dit que l’Euro semble mal parti ! L’avantage c’est que nous sommes dans la course et le match est accessoire à cet instant.

Le deuxième tour se termine, toujours avec le temps menaçant mais aucune goutte de pluie viendra ternir cette MERINOS 2016.

Bastien, fidèle à lui même, mène la course dans sa catégorie ! Et le tout avec le sourire !

 

 

Troisième et dernier tour pour le 10 km. Les runneurs regardent leur chrono. Record perso ou pas ? J’accélère ou pas ? Toujours est-il que les arrivées se font dans une super ambiance !

Bastien est le premier lacaunais à passer sous l’arche ! 38Mn15sec ! Un classement au scratch 16ème et une première place en espoir ! Bravo !!! 15,68 km/h de moyenne ! oh

Puis c’est à Christophe de faire stopper le chrono : 41mn31sec et une belle 38ème place !

Manu arrivera 61ème en 45mn28sec.

Tatiana finira nettement mieux qu’à LABRUGUIERE avec un temps de 47mn12sec et 72ème et il semblerait au vue du classement un podium chez les féminines.

Dominique arrive elle en 51mn04sec et une 104ème place. Dur dur de trouver son classement dans les féminines vu que les organisateurs l’ont classé chez les messieurs !

Et enfin notre André qui termine 106ème en 51mn18sec ! La tactique qui consiste à partir dernier semble payer ! Il aura doublé 44 « adversaires » car 150 inscrits participaient à la MERINOS 2016. cool

 

Bravo à tous les coureurs de l’ACL pour ces résultats.

 

Merci à Paola pour les photos de l’article mais d’autres photos arriveront de la part de Yohann et Bastien et de leurs compagnes respectives qui ont « flashé » nos participants passant trop vite devant leurs objectifs !

Bout du Pont de l’Arn

Résultats ICI

 

Trail urbain Toulousain

Un petit CR de notre sortie à Toulouse

 

 »Mon pays , Oh Toulouse ouse ouse  »

 

Samedi Une arrivée, à Toulouse, sous une pluie diluvienne accompagnée de grêle sur le périphérique, au point d’être obligés de s’arrêter sur la BAU.

 

Entre deux averses, nous nous rendons à l’espace David pour récupérer les dossards. M…. j’aurais dû changer mes souliers de ville contre des rangers, c’est la fangue partout.

 

Le site, près du château d’eau domine Toulouse avec entre autre une super vue sur la Garonne boueuse qui en dit long sur la quantité de pluie tombée.

 

Sur place, nous récupérons les dossards de Mégane et Francis mais pas celui de Marie.

 

Après des recherches et des palabres en n’en plus finir avec les organisateurs le dossard nous est remis, ils avaient inversé le nom et le prénom.

 

Le soir  »pasta partie » dans une brasserie pour y faire le plein de calories et de bière, et il pleut tjs autant.

 

 

Dimanche, Francis comme dab se lève tôt, tjs le stress de rater le départ.

 

8 heures, il tombe des cordes, les marathoniens démarrent  »Bon courage »

 

On arrive à Pech David largement en avance, comme dab (merci Francis).

 

L’animateur propose un échauffement avant le départ, nous sommes tous les trois au milieu du champ en tenue ACLacaune, le prof nous repère et nous embarque sur l’estrade.

 

Mégane par un tour de passe-passe se débine et nous voilà tous les deux à essayer de suivre le prof de ce qui ressemble à du fitness, gym, zumba et strech.

 

Nous nous en sortons pas trop mal et les coureurs jouent le jeu. Bref Sympa.

 

9 heures  C’est l’heure du départ, sauf que l’arche se dégonfle toutes les 30 secondes et par conséquent 10 mn de retard.

 

C’est parti pour une drôle de course, le temps s’est amélioré, il ne pleut pas, on aperçoit même quelques éclaircies.

 

1 km après le départ, un rétrécissement dans un escalier, ça bouchonne, certains passent sur le côté et nous assistons aux premières chutes.

 

Après quelques kilomètres en ville, nous attaquons le trail, nous précisons bien que c’est urbain à en voir nos baskets,il n’y a aucun doute à avoir 🙂

 

Nous continuons sur les pistes et monotraces, ça se complique, le terrain est détrempé et plein de boue jusqu’à 40 cm et même un mélange de grêle et de boue ( pas tout à fait la même que

 

Balaruc les Bains, mais gratos).

 

Ça tient du miracle pour rester debout, on assiste à des chutes partout, la solidarité s’organise tout le monde aide tout le monde.

 

Bref, pour faire court (je ne veux pas concurrencer Manu) c’est la galère, on serait mieux à la brasserie d’hier soir.

 

11° km, Marie sort du bois, suit la file de coureurs sur la droite, un jalonneur indique à une voiture de serrer à gauche. Hélas droite et gauche quand on a 80 balais c’est dur de savoir et

 

percute Marie.

 

 

Affolement général, Marie ne comprend pas ce qui lui arrive reprend ses esprits et réalise qu’elle s’est fait renverser.

 

Et là , elle entend une voie qui lui dit  » Lève toi et court  » Marie finira son trail avec beaucoup de courage.

 

Francis et Megane commençaient à s’inquièter sérieusement et furent ravis de la voir arriver.

 

Direction le secours populaire voir le toubib et le protocole qui va avec. Marie s’en sort avec de belles contusions aux fesses et au poignée d’un bleu à faire pâlir les Schtroumfettes.

 

Résultat : Mégane 2 H 23′ 35 » podium 1° espoir

 

Marie    2 h 54′ 30 » ça se comprend

 

Francis  2 h 13’01 »  rate le podium pour 4 mn

 

distance parcourue presque 20 km au lieu de 18 prévus initialement

 

 

 

En Laure en courant

Un an ! Un an que je cours pour soutenir la recherche ! Un an que je recherche des dons pour aider les familles et les malades. Un an déjà !

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Vous le savez, j’ai d’abord commencé suite aux décès de membres de ma famille en soutenant la FONDATION ARC. Des courses et des kilomètres plus tard, je me suis engagé avec l’association IMAGINE FOR MARGO pour la recherche contre le cancer des enfants.

Cela n’a pas été facile. Des étoiles nous ont quittés mais d’autres ont été sauvées. La motivation est là. Il faut aider ces enfants, aider ces familles qui se battent tous les jours, toutes les nuits pour que leur petit Amour puisse être sauver. Il nous faut donc non seulement les soutenir mais aussi aider la recherche. Je me bats pour cela et pour eux à chaque fois que je le peux. C’est aussi 3000 km à courir pour faire tout cela ! glasses

Je vous ai préparé une petite vidéo sur cette année de course à pied et de recherche de dons.

Maintenant place à mon 10 Km de LABRUGUIERE au EN LAURE EN COURANT.

L’an dernier, j’avais eu la chance pour ma première course contre le cancer d’avoir fait ce 10 Km avec mon fils aîné Matthieu. Cette année, je serais tout seul. Enfin tout seul pas vraiment. Neuf membres du club de LACAUNE seront aussi présents.

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Le parcours sera le même et l’heure de départ aussi ! Départ 20h07 après le passage du train qui coupe la course après 400 m.

Echauffement en commun. C’est très sympa. J’avoue que c’est la première fois que je le fais avec les ami(e)s du club et cela change. Je montre le dernier kilomètre à tout le monde et avec Ricou notre président on explique les deux difficultés du parcours. Et il y aura deux tours de 5 km à parcourir.  Deux montées (à faire donc 2 fois) seront au programme. Sur le premier kilomètre et demi et au 3ème. Une en faux plat montant et la seconde sera une belle côte comme j’ai aux entrainements.

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Ricou m’annonce qu’il veut faire un peu plus de 40 mn sur cette course car il a un trail en relais le lendemain. 40 mn ? Tiens si je m’accroche cela pourrait passer. On verra cela…

Le speaker annonce un départ dans 10 mn, il faut se mettre en place ! Un bisou à mon épouse qui m’a suivi sur cette énième course et un check pour les enfants malades comme à chaque fois. Et on se concentre pour la course !

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Je me doutais pas que je faisais cette tête là à ce moment là mais bon, je partage tout alors on y va yes.

Je me doute que si j’essaye de suivre la « président » cela risque d’être un peu difficile à finir. On va tester sur les deux premiers « kil » pour tester. Les jambes répondaient bien à l’échauffement. mais n’anticipons pas !

On s’approche du départ. Nous serons 280 à courir au total (80 sur le 5 km, et 200 sur la distance phare de la soirée).

3, 2, 1 et partez !

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Dès les premiers mètres, j’arrive à me caler derrière Ricou qui part tranquille. Cela me va. Tranquille pour lui c’est du 15 à l’heure. Je reste avec lui jusqu’au premier kilomètre, sommet de la première côte. L’application me lance un 15,5 km/h ! Arg ! Je pense que cela va être trop rapide. Je sens les cuisses un peu lourdes. Je suis pas super confiant sur le coup. Tout va bien pourtant mais j’ai pas l’impression que cela va tenir. Je laisse donc partir et je fais ma course tout seul. C’est de tradition à chaque course, je me retrouve à courir seul alors que l’on est quand même super nombreux au départ ! Alors ici non plus cela ne change pas. Pas grave. les entraînements se font seuls cela me dérange pas.

J’arrive au sommet de la plus grande côte pour la première fois. J’ai la surprise en haut de voir arriver à ma hauteur, Eva. Une jeune espoir du club qui fait le 5 km. Pour être parti dans les premiers, je n’ai pas beaucoup vu de coureuses devant moi. Elle doit être bien classée. Je lui dis de courir avec moi pendant la fin du premier tour pour prendre des relais. Elle est très bien et moi pas trop. Les cuisses sont vraiment lourdes. Cela ne répond pas… Grrrrr. Tant pis. A 500 m de la fin du premier tour, je lui dis « vas y, j’ai encore un tour ». Je l’encourage tant que je peux et à mon passage au bord de la ligne d’arrivée, je l’entends parler avec le speaker qui annonce sa première place dans sa catégorie. Génial ! Allez, çà c’est fait, et il reste QUE 5 km !

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Et je repars sur le grand faux plat. Un petit ravitaillement pris à la volée. Les cuisses sont vraiment pas top. J’essaye d’y aller au moral mais cela m’agace que les « gibolles » ne veulent rien savoir mad. Cela me gêne plus que cela m’énerve car je sais que je suis pas à mon niveau mais ce sont les « joies » de la course. Des fois cela marche des fois moins. Je cours quand même aux alentours de 12 à l’heure mais bon.

Montée terminée et nouveau tour du lac d’EN LAURE et les encouragements du public. De jolis paysages là encore. On nous avait annoncé des orages, nous n’aurons pas une goutte de pluie. Ouf !

Dernier ravitaillement après le lac, je prends un verre d’eau et un quartier d’orange. J’ai pas trop envie de me faire mal. Je sens dans mon dos une main qui se pose. Tatitana, autre copine du club, arrive à ma hauteur. Là encore, je me dis que je peux peut être aidé dans la montée en lui prenant un ou deux relais, histoire d’aller chercher un podium pourquoi pas ?

Je me force à la suivre et au début de la montée, je me mets à ses côtés. Au sommet de la côte, les jambes vont mieux. Oooooh ! Je vais essayer de suivre ma coéquipière qui continue sur la lancée.

Descente sur LABRUGUIERE et nous longeons la ligne de chemin de fer. Je me sens vraiment bien, pas pour accélérer quand même, mais pour rester à cette allure de 12,7/13km/h cela va le faire. Je parle à Tatiana et je l’encourage. Elle prend quelques longueurs mais revient au moral. Bel effort !

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Peu avant l’entrée dans la vieille ville, Tatiana m’accroche le bras. Au départ, j’ai cru qu’elle avait failli tomber mais en la regardant elle est dans le rouge. Je lui attrape le bras et je lui dis qu’on va ralentir. Mouvement de tête qui veut dire non on continue.

Alors je la guide. A gauche après le trottoir, à droite après le trottoir. les gens et les bénévoles qui assurent notre sécurité sur la course l’encouragent. C’est génial ! Mais sur le coup je m’inquiète pour elle. Elle est très rouge et a du mal à respirer.

Entrée dans la rue pavée, il reste 250 m ! Allez çà va le faire. Le public plus nombreux encourage, crie ! Les autres runners ayant terminés eux aussi sont là. Les premiers du club eux aussi lancent des allez, allez !

Nous allons terminer, 100 m, 50 m, et c’est la ligne. Je pousse légèrement Tatiana pour qu’elle passe devant moi sur la ligne de chronométrage. Et de suite après je la soutiens car j’ai peur qu’elle tombe. Mais non, elle s’est refait une petite santé sur les derniers mètres. C’est là encore super top. Elle me lance un « Merci Manu ! ». Un check et un bisou pour se remercier l’un et l’autre. Si elle ne m’avait pas rattrapé, je n’aurais certainement pas fait ce temps non plus !

Un an de soutien à la recherche et mon 10 km de LABRUGUIERE

Cela me place à la 70ème place avec un chrono 47mn35sec. C’est déjà très bien vu mes sensations lors des trois quart de la course.

Belle organisation, beau parcours et des bénévoles très sympas. A l’année prochaine ! cool

Une pensée particulière après l’arrivée. Nous sommes à la veille de la fête des mères et ma maman a été emmenée par cette maladie. Je lui lance une bonne fête en regardant le ciel. Chacun sa manière de l’exprimer. Moi ce sera ces mots et un baiser vers les étoiles. winktongue

Voilà pour ces un an de soutien à la recherche et ce 10 km d’EN LAURE EN COURANT.

Coté resultat sur le 5km Eva termine première féminine en 22m19s

eva en laure

Sur le 10km Florent deuxième junior 40éme scratch en 43m25s

florent en laure

Egalement sur le 10km Tatiana 1ère senior 69é scratch en 49m34s

tatiana en laure

Ensuite Ricou 34éme en 42m35s, Christophe 41é en 43m37s, Manu 70é en 47m35s, Domi 107é en 52m51s, Sonia 110é en 53m47s et Véro 111é en 53m51s sur 165 arrivants.

QUELQUES PHOTOS:

 

 

Bédarieux et ses podiums inattendus

Ho ! Jean (Rascol) médaille d’argent ! Comme son cousin Stéphane Diagana au siècle dernier ? Comment est-ce possible ? Certes nous ne sommes pas aux Jeux Olympiques ; mais pas à la fête votive de Saint-Salvi-de-Carcavès non plus…

Ah ! Tout s’explique : il remplace Lionel (Gros). Lionel, ce serait son beau-fils ? Avec un trait d’union ? Ah oui, sauf pour Marie… Lionel est donc le vrai dauphin du Trail des Caminols. Et nous ne connaîtrons pas ses impressions car il est déjà parti… Une fuite vers Béziers qui fera au moins deux heureux : maman Hélène, qu’il est allé saluer en ce jour de Fête des mères, et donc bon-papa. Tout comme Éric (Cambon), Jean s’attendait cependant à monter sur le podium, mais dans le relais, puisqu’ils ont fini à la troisième place. Mais las : la surface de ladite estrade étant limitée et, de surcroît, les hommes et femmes politiques de la contrée avaient répondu présent, si bien que seul le duo vainqueur fut honoré.

Un autre qui n’est pas (encore) blasé des podiums, c’est Vincent (Duvernay). Après le rugby, première année d’athlétisme, et déjà de bonnes sensations en course. Avec et après un suivi méthodique des entraînements supervisés par Patrick (Cavaillès) : 21e au grand trail. Certes, nous sommes dans le « catégoriel », mais Vincent est tout autant heureux que surpris : au classement purgé du podium général, il est appelé comme chef de file des seniors. Il faut croire que le Top 20 est truffé de vétérans ou très jeunes. L’animateur (il a le profil de Stéphane Tailhades) dans son bout de podium doit faire face à tout, y compris à une vingtaine de feuilles de classement dans le désordre. Ainsi, à tête reposée, il apparaît que le podium de Vincent est quelque peu généreux. Mais que celui qui n’a jamais travaillé dans l’urgence devant le public lui jette la première pierre (au speaker)… Anecdotique donc. Quant à Vincent, il confirme la bonne gestion de cette course, ardue dans son profil : bosses, descentes raides, sinuosités en monotraces alternent sans répit aucun: « Dans les derniers kilomètres, j’ai pu grignoter quelques places ». Un peu plus tôt cependant, Vincent avait été doublé sans ménagement et anonymement par un président encore frais, après son échauffement à Labruguière la veille. Concentré en course, jovial en dehors, le président…

Les derniers kilomètres offraient un profil un peu moins tourmenté. Ce n’est pas le cas du master 3 André (Suc) qui s’est fait remonter par une demi-douzaine de concurrents. À l’arrivée, usé et épuisé, il croit bon de faire une déclaration d’humour à la bénévole qui le déshabille (du dossard) : « Pour moi, votre parcours déjanté sur le causse, c’est une arme de destruction massive. »  Il croit utile cependant de préciser à l’effeuilleuse : « Si je dis ça, c’est pour vous faire rire. »

Reconnaissons aux Caminols une gestion pointue de l’événement : larges ouvertures sur la vallée entre deux grimpette et, le jour J, un balisage au top, et des bénévoles avenants à chaque croisement de sentiers. Félicitations aussi !

Trail des 25 km : 1er Baptiste Martin en 2 h 18′ 44″;  2e Lionel à 2’55 »;  21e Vincent ; 82e André;  158 arrivants.

Relais à deux sur 25 km : 3e Jean et Éric sur 16 arrivants.

 

PREMIERES PHOTOS:

ENCORE DES PHOTOS:

Course de Mons

Félicitations à Yohann qui a participé dimanche dernier à la course de Mons près de Balma, en effet il gagne la catégorie senior et termine 3éme scratch en parcourant 9km en 33m39s.

 

TRAIL EAU

Le Trail de l'eau

Le samedi 21 mai 2016, se déroulait le TRAIL de l’EAU entre le barrage de la RAVIEGE (LA SALVETAT -34-) et le lac du LAOUZAS (NAGES -81-) pour les festivités des 50 ans du barrage du LAOUZAS.

La « course », sans classement officiel ni chrono, est un mélange de trail et de course d’orientation. Pour faire simple, la C.O. était surtout là pour nous faire faire le parcours sans être obligé de tout baliser.

Ce trail se fait en équipe et je courais ce samedi avec les membres de mon club de LACAUNE (A.C.L.). Première bonne nouvelle c’est qu’il fait très très beau. Un 23 degrés au thermomètre et un léger vent amenant un peu de fraîcheur ! L’ambiance est bonne enfant et super sympathique ! Tous les ingrédients sont là pour passer un bon moment.

Inscriptions faites, nous avons le droit à un petit spectacle des majorettes locales afin de nous faire patienter avant le départ à 15h00.

La raviege

La course se déroulera sur le format suivant : relier les deux barrages en poinçonnant notre bulletin avec les 6 balises du parcours, la 6 se trouvant être la ligne d’arrivée. Les cartes nous seront données après le départ à cinquante mètres de l’arche. Nous sommes un peu plus de 80 à nous lancer dans l’aventure !

Le Trail de l'eau

J’allais oublier de parler de mon équipe : Ricou, le président du club, Dédé notre champion de questions pour un champion et Cyril, notre nouveau « musculator » ! Et Manu, votre serviteur dans ce récit ! cool

L’heure approche ! En place sur la ligne de départ, des plans délirant sur la course se font entendre. Rires partagées entre tous les traileurs de la journée happy.

Explications données par le speaker officiel qui annonce un parcours d’environ 17 km avec un sourire jusqu’aux oreilles. Cela sent pas bon yes et le décompte se fait ! 5, 4, 3, 2, 1, partez !

Cyril nous dit qu’il n’a pas couru depuis 8 mois et qu’on lui avait vendu la course comme faisant 14 km…. çà sent l’arnaque mais on part !

La carte est récupérée au vol et nous sommes partis pour ce trail/course d’orientation. La première balise est vite découverte car elle se trouve à 150 m du départ ! Toutes les équipes la poinçonnent et les coureurs s’étalent sur la route en direction de LA SALVETAT où se situe la deuxième balise… soit disant derrière l’église.

Et comme d’habitude dans nos belles montagnes, après un peu de plat voici les premières côtes. Elles sont encore sur le bitume. Nous aurons notre part de chemins, pistes, bois dans quelques kilomètres.

Notre belle équipe arrive dans LA SALVETAT et direction de l’église. Un super point de vue se trouve juste avant et j’en profite pour faire une photo rapide. Autant joindre l’utile à l’agréable ou plutôt l’agréable à l’agréable !

Le Trail de l'eau

Et voilà tous les coureurs en train de chercher cette balise. « Elle est là ? »… »Non ». « Mais elle est où ? » arf

Après plus de dix minutes à chercher partout, un coup de téléphone donné par Ricou aux organisateurs, nous apprend que la balise a été enlevée… alors on la trouverait pas. Nous ne sommes pas si mauvais smile !

Donc direction la balise n°03. Nous empruntons un chemin de randonnée en pierres et terre. Superbe ! Mais cela monte très sec d’un coup. Notre Dédé nous dit qu’il n’arrivera pas à nous suivre à cette vitesse et comme il a étudié la carte, il nous rejoindra à l’arrivée directement ! « Partez, on se retrouve à RIEUMONTANIE à NAGES ! ». Et notre belle équipe continue à 3 membres.

Ricou récupère la carte. Connaissant parfaitement la région, il voit la position de notre nouvel objectif et dit « on passe par là, puis par là et on monte et on y arrive »… Euh… Ok.

J’ai pas tout compris au parcours mais Cyril, connaissant les lieux, lui a compris. Je me dis qu’avec deux équipiers comme cela je ne vais pas me perdre.

A la sortie du GR, nous nous retrouvons sur une partie goudronnée et une équipe juste devant nous. Profitant d’un ralentissement, je fais un arrêt « pour satisfaire un besoin naturel » et je vois mes deux camarades prendre une belle côte à travers champs. Tiens oh ! Bizarre l’autre équipe a continué sur la route… Ricou me regarde « on va couper et leur passer devant ». Ok, allons y.

Effectivement une fois la pente grimpée, nous nous retrouvons devant nos « adversaires du jour ». Et nous finissons la côte sur le goudron !

Le Trail de l'eau

Ricou nous explique où se trouvera la balise en expliquant maintenant sur le paysage quel sera l’itinéraire à prendre. Ça va monter !

Nous prenons quelques routes avant de récupérer le GR (chemin de randonnée) pour monter un mamelon et découvrir la balise. Mon niveau en trail fait qu’avant le sommet, Ricou me lâche et l’allure de marche de Cyril me décramponne. Je suis obligé de trottiner pour rester à ses côtés ! Va falloir que je bosse çà !

Avec Cyril nous arrivons au sommet de ce col et Ricou nous indique qu’il a poinçonné la balise et que nous allons descendre. Oh yes ! Enfin descendre !!!

Avant de prendre la descente, justement, on en profite pour prendre de l’eau au ravitaillement laissé par l’organisation ! Cela ne dure qu’une minute mais cela fait du bien. Nous arrivons à 7 km. Nous avons un point de vue superbe sur le lac du LAOUZAS. Allez hop, encore une photo !

Le Trail de l'eau

Paysages magnifiques !

Mais en y réfléchissant nous allons devoir aller de l’autre côté du lac ! Cela va faire plus de 14 km c’est sûr et même plus que les 17. Pourtant on a toujours pris au plus court sous les consignes de Ricou ! Enfin, on verra.

Le Trail de l'eau

Les équipes devant nous, ont encore suivi le chemin. Trop simple pour notre meneur d’allure. « Coupons par le champs, on va les doubler ». A plat ventre sous les barbelés pour rentrer dans le champs et en avant pour la grande descente. Là encore nous doublons les traileurs qui étaient devant nous il y a quelques minutes.

La balise 4 est située à la ferme de PAYRAC (ferme éducative). A un croisement de chemins, on retrouve « mon » bitume et je recolle à mes deux coéquipiers. Nous avons la chance de passer sur le barrage du LAOUZAS qui fête donc ses 50 ans. Allez encore une photo !

Le Trail de l'eau

Une fois traversé, Ricou nous indique que l’on va encore couper et ne pas suivre la route. Sur ce coup là, je le sens moyen. Étant sur mon secteur de travail, je connais l’endroit et je sais que çà va (encore) bien monter.

Je m’accroche et je ne perds pas beaucoup de terrain sur l’équipe et nous retrouvons un peu de bitume pour rejoindre la ferme de PAYRAC. « Allez on coupe par le champs, on va les rattraper ». Là par contre Ricou, çà monte vachement quand même. Je perds « mon bitume » mais je suis ! Et après un passage sur un chemin en terre très roulant, nous voilà dans des bois à faire « presque » nous même notre chemin et dans une côte qui pour moi est interminable. Ricou et Cyril me prennent une bonne centaine de mètres en peu de temps. La côte me semble très longue. Ricou prend quelques longueurs à Cyril. Allez Manu accroches toi sinon ils vont avoir le temps de monter la tente avant que tu arrives là haut. intello

Je vois enfin le sommet de la montée de fou que l’on vient de faire. Par contre, les collègues sont déjà sur le chemin en bas. Je me lance donc à mon tour sur la piste et je suis récupéré par l’équipe.

Balise n°4 et surtout ravitaillement en eau !!! La chaleur me dérange pas trop mais cela fait beaucoup de bien à l’organisme. Même si j’ai de l’eau et quelques gels, je ne donne pas ma part sur ce coup là. L’organisation a bien fait les choses. L’eau à l’ombre semble très fraîche et cela fait le plus grand bien.

Nous savons que les derniers kilomètres se feront sur la route. Cela plaît moins à mes équipiers mais moi par contre cela me motive !

Nous sommes tous les trois en train de discuter quand d’un coup, je me retrouve tout seul à courir ! Je me retourne et je vois mes deux amis qui se sont arrêtés surpris par des crampes. Chaleur et effort ont certainement joué un vilain tour à mes équipiers. Et en plus Cyril n’ayant pas couru pendant une longue période commence à sentir le manque d’entraînement.

Étirements rapides et volonté de repartir, nous rejoignons la route. Je regarde la montre, nous arrivons à 17 km… Tiens, c’est la distance qui nous a été donnée au départ. Pourtant nous avons coupé au plus court (pas au plus facile, j’ai bien dit au plus court). Enfin, maintenant il reste qu’une balise et l’arrivée ensuite.

Cela devient dur pour Cyril. Entre bitume et chaleur, cela n’aide pas à faire passer les crampes. Nous restons ensemble une partie de la dernière côte. Puis c’est de la marche ! Mais je ne peux pas suivre la vitesse de marche de Cyril donc je grimpe en courant. Sur ce coup là, c’est Ricou qui prend quelques photos !

trail o

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La dernière balise est poinçonnée. Direction l’arrivée ! RIcou a profité de la descente pour nous prendre quelques mètres. Cyril serre les dents et reste dans mon sillage. On cherche l’arche d’arrivée et j’entends « elle est là ». Cyril l’a bien vu ! Ricou nous attends à une centaine de mètres de la ligne et nous la franchissons sous la « holà » des majorettes. 20 km en 2h21mn et 30 secondes. Mais surtout presque 900 m de dénivelé !

On comprend mieux le petit sourire du speaker au départ de « ses » 17 km ! glasses

Le Trail de l'eau

Cyril et moi profitons du ravitaillement pendant que notre président de club étudie la carte et l’itinéraire avec d’autres coureurs du club arrivés devant nous. Quel pro ce président !

Quelques minutes après c’est au tour de Dédé de traverser la holà des majorettes ! Bel effort de notre « ancien » qui a fait la course seul ! Bravo champion !

Personnellement, mise à part ces côtes dans les bois ou à travers champs, la course a été géniale. Pas de bobo, pas mal aux jambes et pas souffert de la chaleur. J’ai pris du plaisir (hormis dans les grosses côtes frown) mais il faut passer par là pour se retrouver à voir des paysages somptueux comme j’ai pu vous faire partager en quelques photos !

Je profite de cet article sur ce trail de l’eau pour le dédicacer à tous les enfants malades qui luttent contre le cancer. Mes amitiés à eux et leur famille et je vous envoies toute ma force pour vaincre cette maladie ! ^^

GO FIGHT WIN ! cool

Le Trail de l'eau

Trail du Lauragais

Trail du lauragais

 

Domy et christophe ont participé a BELFLOU.Trail  de 14km pour 200+       81 partcipants ; rendu tres penible a cause de la pluie des jours précédents traverser de labour ou les chaussures triplé de volume.Sinon pas de tres grosse difficulté beau paysage autour du lac de la ganguise à refaire .

Domy3M1 Christophe2M1

Christophe

tichit  lauragais

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