Courses Adultes

10 Km de Blagnac

37m36s, c’est le chrono qu’a réalisé Yohann lors du 10 km de Blagnac. Avec plus de 1700 coureurs, cette épreuve est le 10km sur route du début de saison dans notre région. Il se classe 69é. 16 km/h de moyenne sur 10 bornes, chapeau! Bravo mec.

Photo: on distingue Yohann dans le fond de l’image. j’ai pas trouvé mieux.  DSL.

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Black Mountain trail à Saint-Amans-Soult

Nous allons gagner ce matin

Sept heures du matin ce 7 mars, au siège (Grand Café Ricou). Virginie la caissière s’affaire : café, jeux. Éric le patron déboule, sert deux ou trois cafés, manière de se rendre utile.

Bossuc vient d’arriver aussi : ce samedi matin, c’est course. Et comprend vite la gravité de la situation et l’angoisse de l’entreprise « Sarl Ricou » : le patron va courir. Et il pourrait y avoir, à la pause de midi, affluence de consommateurs affamés et de joueurs invertébrés. (À ce propos, puisque les bipèdes sont, eux, de l’embranchement des vertébrés, bon courage à Lionel (Gros) qui doit garder confiance en des lendemains meilleurs). En dépannage, grand rappel du peuple : une semaine anglaise à rallonge pour Mélissa la serveuse, et Fanny la fille est priée d’oublier ses études et ses distractions… Le patron doit rentrer au plus tôt : il a juste la permission de midi pétant. « Mais pas de problème, Virginie : nous allons gagner. C’est le meilleur moyen de revenir le plus rapidement, non ? » Ceci c’est Bossuc qui le dit. Il oubliait sûrement qu’il y a loin de la coupe aux lèvres. Et que de surcroît, Éric n’hésite pas à assurer les relations publiques avant  et après la course (par convivialité et pour les trails des Monts de Lacaune). Quant à gagner, ils l’ont loupé. C’est vrai, pas loin, au moins dans leur catégorie (3e V2, et 2e V3).

Que dire de cette première édition : qu’elle a bénéficié de tous les atouts : une minutieuse et lointaine  préparation, un solide encadrement, un super parcours et, cerise sur le gâteau, un temps resplendissant.  Une réussite qui en appelle d’autres.

À signaler la prestation de Stéphane Tailhades sur le 32 km : 32e sur 213. Malgré sa condition habituelle (speaker), le Salvetois signe là, non pas une micro, mais une méga-performance.

Résultats (17 km) : 18. Éric Cambon en 1h46’42.   68. André Suc en 2h05’11 (210 arrivants).

 

Tous les classements individuels sur runningmag.fr et (bientôt) sur http://challenge.pnrhl.free.fr/

Bossuc, 7 mars

Finale cross country

La finale du championnat de France du cross-country s’est déroulé dimanche dernier aux Mureaux (78). Loïc Jacob, champion du Tarn 2015, 9éme aux demi finales de Mont de Marsan, avait fait le déplacement en compagnie des meilleurs athlètes du T.S.A. Comme partout en France ce jour-là, le circuit était inondé, rendant les appuis difficiles. Excellent départ de Loïc puisqu’il prit la tête de course sur les premiers kilomètres. Il a « montré le maillot » (comme on dit). Ensuite, il en a bavé, mais gardera un excellent souvenir de son voyage en terre parisienne. Il termine 152é sur 344 en 28m47s. Prochain défi pou Loïc, le top-ten à l’occasion des 10km de Castres.

Les MureauxLoïc Jacob

Saint-Baudile : une pluie… de récompenses

Saint-Baudile : une pluie… de récompenses

Ah ! Courir  sous la pluie, deux heures avec joie / Et regarder la vie tant qu’y en a

Et sauter dans les flaques, avec autorité / Bousiller nos godasses et s’ marrer…

(adaptation de « Mistral gagnant », de Renaud).

Passé le premier kilomètre, c’est un parcours que le commun des mortels qualifierait de « dantesque » qu’ont suivi les engagés aux « Monts de St-Baudile » ce dimanche 1er mars. La MJC locale a eu raison, vent debout (ou de boue) de changer de saison : ça s’arrose ! Au début, les coureurs, un peu précieux, cherchent la bonne trajectoire : ils sont frais et, en le calculant bien avec quelques zigzags, ils peuvent préserver leurs baskets. Mais la boue dégouline, envahit le mitan du chemin, puis l’eau colonise le passage des roues. Renforcé par les passages des premiers, souvent c’est une bouillie. Allez, en bordure. Oui mais voilà, la pente vous renvoie à l’intérieur, souvent au prix d’une glissade acrobatique (plus ou moins). Dès lors, à quoi bon réfléchir : tracer tout droit pour n’éviter que les magmas présumés les plus profonds. Quant à l’eau des ruisselets ou des torrents, elle a perdu, au moins pour le gros du peloton, la pureté du cristal. Elle bouillonne, parfois superficielle, quelquefois un peu moins. Ou rarement avec un peu moins de chance, jusqu’à mi-jambe.

À ce jeu, l’aîné des frères Amalric (Fabien) a su nager. Il apprécie le parcours, mais préconise : « Hum, j’aurai bien fait quelques hectomètres de monotrace en sus. Mais ça ira quand même. » Et comment : malgré la nuit très courte de l’employé de casino (jeux), il finit à la deuxième place de l’épreuve. Ont aussi gravi les marches du podium : Bastien (Amalric, 1er junior), Mégane (Gil, espoir), Lionel (Maffre, vétéran 1), Marie (Gil, vétérane 1), André (Suc, vétéran 3). Un podium où Stéphane Tailhades est resté sans voix (ça nous change), lorsque le maire de St-Baudile et autres lieux circonvoisins lui a affirmé que, jadis, il avait accueilli ici-même le champion olympique Saïd Aouita. Pensez si les six AClacaunais précités étaient fiers de s’identifier illico à la flèche marocaine.

Pour faire court, nous aurions dû citer parmi les neuf Lacaunais du jour, seulement les trois qui n’ont pas été récompensés : Éric (Cambon), Francis (Gil) et Jean (Rascol). Ce sont aussi les trois qui ont conduit, avec plus ou moins de science, les véhicules transportant leurs homologues sur ce terrain de jeu. Remarquez, c’est un grand honneur aussi : sur une carte de visite, « chauffeur de stars », voilà qui en jette. Quant à l’organisation, rassemblée autour de Dominique Thépin, elle n’est pas partie à vau-l’eau. Bien au contraire, elle fut à la hauteur des circonstances, inspirant à chacun des participants une certaine reconnaissance, sinon amitié.

Tous les classements individuels sur : http://challenge.pnrhl.free.fr/

Bossuc, 1er mars

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Semi-marathon de Maraussan

La famille Gil, Marie Mégane et Françis, est vraiment une famille indissociable. Unis par la passion et la souffrance, ils ont donc participé au semi-marathon de Maraussan. Cette épreuve était prévu depuis longtemps car elle fait partie de leur plan d’entrainement en vue du prochain Marathon de Paris, prévu début avril.

« En bas » comme on dit chez nous, il faisait soleil ce dimanche matin. Mais qui dit soleil, veut dire vent. Et du vent il y en a eu. Des rafales « cent-kilométriques », qui, bien entendu, a rendu la course plus difficile. Néanmoins Mégane s’en tire plutôt bien, puisqu’elle remporta sa catégorie « espoir » dans un temps de 1h55m en compagnie de son papa. Sa maman termine pas trés loin derrière en 2h03.

Bravo à tous les 3.

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Inter-régionaux Cross-country à Mont de Marsan

Loïc et Yohann avaient obtenu leurs qualifications aux inters, grâce à leurs perfs lors des régionaux de Castres. Dimanche dernier, direction Mont de Marsan afin de participer à la demi-finale du championnat de France de cross-country. Le parcours était « roulant » et sablonneux , un digne avantage pour les pistards.

Yohann, certe novice dans l’épreuve, a participé à la course sénior (10 810m) et s’est classé  123é en 45m20s; Quant à Loïc, au top de sa forme, a obtenu une excellente 10éme place en 21m15s chez les juniors (6 105m) et participera donc à la finale qui se déroulera le 1er Mars aux Muraux (78). Bon courage à Loïc, tout l’A.C.L est avec toi.

RONDE GIVREE 2015

Du frais au vieux, des Gens bons dans la Ronde givrée

Les Gens bons : ils ont couru à perdre haleine, les crus, les secs, les blancs… Se taillant un beau succès d’estime auprès de l’animateur décryptant, durant six heures, le déroulement de cette 33e Ronde givrée de Castres. À l’arrivée, ils étaient tous « cuits ». Mais chez les « frais », aucune trace apparente de fatigue quelques minutes après avoir franchi, en onzième position, la ligne d’arrivée. Les pompiers 1 (18e) ont frisé le podium en corporatif, bien lancés qu’ils étaient par Guillaume Vieu. Pas de Marseillaise non plus pour l’équipe de « rances » (80e). Si la règle du jeu est d’extraire les plus véloces des 40 coureurs des Monts de Lacaune, citons : Loïc Jacob, Yohann Girabancas, Tristan Rascol, Fabien et Bastien Amalric, Guillaume Yeddou. Et lorsque l’élégance rime avec performance : Mégane Gil, Sonia Bardy et Coralie Spiritusanto.

Des jokers en exergue

Qui rit vendredi, dimanche galopera. Appelés de dernière heure pour suppléer les (nombreuses) défections, il convient de tirer un coup de chapeau face à la disponibilité et la vaillance de Quentin Granier, Guillaume Fages, Anthony Valette, Thierry Douang-Dara et Béatrice Cazabonne. « Bien mieux que des remplaçants », selon le coordinateur Éric Cambon.

Cette année, Lescure avait douze équipes engagées, soit deux de plus que les Lacaunais. Pour le podium, il fallait donc compter sur le retour des vieux des monts. Ils n’ont pas failli. Grâce à un Patrick Durand qui a laminé la concurrence sur le troisième parcours, les vieux gens bons ont même espéré, l’espace d’un moment, conquérir le titre chez les plus de 60 ans. À l’arrivée, ils devront cependant se contenter, comme en 2014, de la troisième place. Ainsi, pour les coureurs du cru, s’est clôturée l’édition. Ou presque, car durant quelques jours, certains, devant les marches d’escalier de leur logis, leur usine ou leur entreprise, adopteront la stratégie du crabe.

À signaler le site internet du club d’athlétisme : « aclacaune.fr ». Impeccablement tenu : l’on y retrouve des récits empreints de poésie, comme le récent périple du coureur de grand fond Lionel Gros. Sans doute le signe d’une association qui… court bien.

Légende photo : Tranche de sport et convivialité pour 40 MontsdeLacaunais.ronde 2015 podium V3 ronde 2015

Le chemin suit son « Cours »

Prendre la direction du Lot un dimanche de Janvier, c’est reprendre un peu de liberté, au gré du vent, et c’est finalement tout simple… Alors que les mauvaises nouvelles secouent la société, que les perspectives d’avenir paraissent incertaines, que peu de choses incitent au sourire…

Alors !, l’appel de la nature devient refuge, vital pour l’esprit. On prend ses « pompes », une réserve d’eau, de quoi « grailler » et on part courir. On se lance un nouveau défi, seul face à soi même.

Très vite dans la nuit, sorti des ruelles de Cours, le sentier s’élève devant moi et mes idées avec. Autour, le paysage s’ouvre à la lueur des frontales, à la chaleur des flambeaux. La gelée matinale scintille sous mes pieds, causses et vallons se mêlent à mes sensations. Et elles sont bonnes ! Le lion est en « pattes » fringuantes. Avec le peloton de tête, on s’enivre de l’air qui chauffe nos poumons, notre cœur bat la chamade face au soleil levant.

Ce trail de l’Aqueduc est splendide, il parle, il raconte une histoire. Car nous faisons exister le chemin en l’arpentant, en cherchant la trace, en pensant fort à nos rudes ancêtres. Le chemin existe parce qu’il a été tracé par d’autres, ne l’oublions jamais. Souvent il se fait falaise, ravine, escalier naturel ou aqueducs. Ce parcours marathon est bien pensé, il reflète cette passion commune du trail. Il incite à l’effort, à se dépasser, mais pas que… Car pour moi les lauriers et la « boîte » ne sont pas finalités. La course m’apporte la connaissance. D’une région et son terroir, de soi et de ses limites. L’apprentissage de l’humilité, ici pas de place à l’argent, aux classes ou au pouvoir, ici dans l’effort, la course à pied laisse chacun face à soi même.

La mi- course est derrière moi, parfois je ralentis la cadence pour laisser place au regard, au plaisir d’être là. Ce matin la lumière est superbe, le coin est attirant, sauvage, le sentier joueur au possible. Et parfois au détour d’une truffière mes papilles frétillent…

Le cap des 30 bornes est face à moi, tout devient plus raide, plus éprouvant. Un seul recours, le mental, quand je cours, je pense. Et souvent je plonge mon esprit dans l’affect. La famille, les amis, les amours, la vie quoi ! Ce n’est pas un acte gratuit, penser à quelqu’un c’est se mettre en sa présence. Du coup je cours en leur compagnie, ils deviennnent mon carburant.

Et sur ce final de l’Aqueduc, heureusement qu’ils étaient nombreux à soutenir mon esprit. Les éléments s’en mêlent, à 5km de l’arrivée, le calcaire du causse a raison de mes appuis, le lion est bien touché. Malgré la frustration, la colère, il faut repartir de l’avant, puiser dans ses ressources les plus profondes…je vous disais…la connaissance de soi ! Je m’accroche, je m’arrache face à l’adversité. Sur ce dernier tronçon c’est la totale, échelles, cordes, passage à l’eau et escalades, mais rien n’y fait, à l’approche de Cours, le lion est toujours là, plus fier que jamais. Deux concurrents m’ont repris, peu importe, une belle étoile m’attendait à l’arrivée, la souffrance est déjà loin , je repars sur le cours de mon chemin…

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Régionnaux de cross-country

Le domaine de Gourjade accueillait dimanche 25 Janvier les régionaux de cross-country.

Deux des nos licenciés étaient là pour représenter notre club. Tout d’abord, Loïc Jacob, notre champion du Tarn junior 2015. Aprés un départ au sprint, il vira en tête au premier virage. Puis le rythme devint de plus en plus  rapide, trop pour Loïc qui laissa partir la tête de course. Néanmoins il termine à une honorable 9éme place sur 37 participants. Chez les seniors, Yohann est allé au bout de lui-même. Le niveau ici était hyper élevé.  Au terme des 1001 mètres de course il franchit la ligne d’arrivée à la 50éme place.

Félicitations à nos deux coureurs qui grâce à leurs performances, ont obtenu leur qualification pour les inter-régionaux qui se dérouleront le Dimanche 8 Février à Mont de Marsan.

Entraînement du président et galette …des rois

Déçus. Forcément déçus. Les 12 athlètes présents pour la « Galette à Ricou » étaient venus pour la photo. Histoire d’épater leur « beauf », fidèle lecteur de la Dépêche du Midi. Bon, il faut bien sûr supporter de poser toujours devant le même lieu emblématique de Lacaune : le café Ricou. Alors qu’il y en a tant d’autres : la Fontaine des Pisseurs, le Jambon de fer, le séquoia du jardin public… Mais en plus, en ce dimanche 18 janvier 2015, ils ne sont pas devant l’envoyé spécial (Christian Calas) de la Dépêche et du Progrès saint-affricain réunis. Mais devant un quelconque novice qui ignore tout du mécanisme des Nikon et des Canon (« Et j’appuie où ? Euh… je sais pas si je l’ai prise »). Reconnaissons cependant que des « canons », le photographe en est pourtant spécialiste. Mais dans la distribution : c’est le barman. Et d’ailleurs, son outil n’est même pas un appareil photo, mais un télphone portable. Qui sans doute peut faire aussi, en lisant bien le mode d’emploi jusqu’au bout, aspirateur… Quelques athlètes ont oublié l’uniforme bleu ciel. Prudemment, pour éviter les camps de travail, ils glissent au deuxième rang. Derrière l’égouttoir de l’auvent, là où la postérité ne retiendra que les ombres d’un visage rond, ovale ou carré.

Et enfin c’est parti. Éric emmène la troupe : « Nous allons partir à contresens du 8 km puis, après le Maloya, revenir un moment dans le sens du trail. » Surprise, il y en a deux qui ont compris le message du premier coup : Jacques (Vieu) et Fabien (Amalric) qui connaissaient déjà le parcours. Les autres suivent gentiment sur la voie ferrée derrière le garage Citroën. « Ils l’on nettoyé », note Ricou. « Des ronces peut-être, pas des escoubilles », maugrée le Bossuc. « C’est vrai : ça fait trash. Je leur signalerai », s’engage le président. Peu après, succession de côtes et de descentes. Souvent sur un « monotrace » ; et encore faut bien le calculer. Alors, Hubert, ces courtes côtes, ces rampaillous comme on dit dans la langue d’ici, sympa non ? « Une horreur, souffle Hubert (Taru). À mon avis, ils cherchent à éliminer les vétérans. Mais ils peuvent toujours courir : je suis pas prêt de lâcher. Têtu je suis né, têtu je reste : c’est pas pour rien que je suis Breton. » Un peu plus haut, c’est le terrain du moto-cross, puis le chemin (carrossable) du Castell. « Et dire que quand j’étais jeune, il fallait prendre la faucille si on voulait passer en moto ou vélo, tellement c’était étroit, se souvient Daniel (Cambon). C’était avant la civilisation des loisirs. » Quelques siècles plus tard, le coiffeur continue à débroussailler les collines. Plus loin, ce sont les deux chiens de chasse de Jacques (Vieu) : ils accueillent les sportifs avec autant d’ardeur que les supporters stéphanois quand leur équipe entre au stade Geoffroy-Guichard. Au-dessus, le satellite Galiléo. Il s’est mis en position géostationnaire juste à l’aplomb de la montre de Céline (Bouquet) : « Il n’y a pas le compte : ça ne fait pas 10 km. » Mais le boss tempère : « Le temps qu’on rentre, il sera onze heures. Et puis il y a la galette. » Chemin faisant, la troupe croise un autre athlète : Yannick (Biau). Lui a un entraîneur particulier : son chien de traîneau.

Ainsi la colonie se retrouve au café Ricou, autour de deux galettes. La distribution ne s’étant pas faite sous contrôle d’huissier, le Bossuc se retrouve avec la part du roi et de la reine. Mais cet hybride ne se laisse pas étrangler par les fèves. Ni, au moment de se couvrir des deux couronnes, par la modestie : « De toutes façons, j’ai l’habitude : je suis déjà le roi des podiums. » Chiche. Prochain rendez-vous d’importance pour le commun des licenciés : la Ronde givrée le 1er février. Le temps est révolu où le sélectionneur s’ingéniait à faire des équipes au temps final homogène. L’heure est venue de la peerformance : objectif top 10 pour l’équipe phare, podiums catégoriels pour d’autres, quantité pour l’ensemble. Un piment qui permet de bonifier la préparation et de déclencher une adrénaline positive. Pas de pression à outrance cependant : comme des gosses, vivons l’instant. Car, huit jours après, il n’est pas certain que quiconque se souvienne de nos « exploits » (ou contre-performances). Comme dit Johnny (Halliday) dans sa chanson : « Cours plus vite Charlie, et tu gagneras… »

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