Foulées de Murat : un parcours apprécié

L’union fait la force. Oui, mais pas toujours. Ainsi, ce dimanche 20 septembre, pour la 17e édition des Foulées de saint Jacques, Lionel Gros, vainqueur 2014, et Cédric Nel ont lancé l’offensive de concert, dès l’entame. Et rêvaient sûrement d’en découdre une heure plus tard, dans l’ultime pente conduisant au Castelas. Il n’en a rien été. Et c’est finalement le Payrinol Jérôme Alayrac, champion le plus en vue cette saison dans le Parc du Haut Languedoc, qui s’impose au bout des 16 kilomètres. Mais d’une courte tête (2 secondes) devant Jérôme Colmenero.

Bien servies par un temps clair, et donc des paysages appréciés, les Foulées ont mis en lumière une évidence moderne : le peloton se conjugue au féminin (25 arrivantes). Et si cette course est l’œuvre du Comité d’animation local, le club d’athlétisme de Lacaune donne un précieux coup de main, y compris sportif, puisque parmi la douzaine de sociétaires présents, ils en placent quatre dans les 20 premiers. Quant aux effectifs, toutes courses confondues, ils se stabilisent autour de 140 (sans compter les randonneurs conduits par les Passejaires), ce qui permettra à l’organisation de préparer sereinement l’édition 2016.

Ronde des jacquets (0,9 km) : 1er Benjamin Dupuy et 2ème Claire Chabbert (poussins) ; 3ème Axel Christophe et 9ème Maelys Bouvet (école d’athlétisme), 16 arrivants.

2,1 km : 1er Guilhem Rouquette ; 2ème Pierre Delgado et 5ème Eva Roussaly (benjamins), 7 arrivants.

Foulées bergères (6,8 km) : 1.Florent Tichit en 30’24ʺ  2.Hugo Fabre  3.Michel Madariaga… 10. Ingrid Bouvet… 12 Juliette Bouniol  13.Céline Aubert (21 arrivants).

Foulées de saint Jacques (16,1 km) : 1.Jérôme Alayrac en 1h10’41ʺ  2.Jordan Colmenero  3.Yohan Camps  4.Lionel Gros  5.Cedric Galinier  6.Cedric Nel  7.Fabien Hyzy  8.Laurent Galaup  9.Bastien Amalric  10.Pascal Gonthier… 15.Édouard Meiler (+ 60 ans)… 17.Augustin Cambos (espoir)… 31 Fanny Marie en 1h28’11ʺ  32. Lucile Lacoste… 44.Georges Mazza (V4, +70 ans)… 46.Raphaëlle Chambat… 66.Mathilde Requis (junior)… 74.Yolande Culié (V2, +50 ans) ; 91 arrivants

Bien servies par un temps clair, et donc des paysages appréciés, les Foulées ont mis en lumière une évidence moderne : le peloton se conjugue au féminin (25 arrivantes). Et si cette course est l’œuvre du Comité d’animation local, le club d’athlétisme de Lacaune donne un précieux coup de main, y compris sportif, puisque parmi la douzaine de sociétaires présents, ils en placent quatre dans les 20 premiers. Quant aux effectifs, toutes courses confondues, ils se stabilisent autour de 140 (sans compter les randonneurs conduits par les Passejaires), ce qui permettra à l’organisation de préparer sereinement l’édition 2016.

Ronde des jacquets (0,9 km) : 1er Benjamin Dupuy et 2ème Claire Chabbert (poussins) ; 3ème Axel Christophe et 9ème Maelys Bouvet (école d’athlétisme), 16 arrivants.

2,1 km : 1er Guilhem Rouquette ; 2ème Pierre Delgado et 5ème Eva Roussaly (benjamins), 7 arrivants.

Foulées bergères (6,8 km) : 1.Florent Tichit en 30’24ʺ  2.Hugo Fabre  3.Michel Madariaga… 10. Ingrid Bouvet… 12 Juliette Bouniol  13.Céline Aubert (21 arrivants).

Foulées de saint Jacques (16,1 km) : 1.Jérôme Alayrac en 1h10’41ʺ  2.Jordan Colmenero  3.Yohan Camps  4.Lionel Gros  5.Cedric Galinier  6.Cedric Nel  7.Fabien Hyzy  8.Laurent Galaup  9.Bastien Amalric  10.Pascal Gonthier… 15.Édouard Meiler (+ 60 ans)… 17.Augustin Cambos (espoir)… 31 Fanny Marie en 1h28’11ʺ  32. Lucile Lacoste… 44.Georges Mazza (V4, +70 ans)… 46.Raphaëlle Chambat… 66.Mathilde Requis (junior)… 74.Yolande Culié (V2, +50 ans) ; 91 arrivants  (article journal)

Pour l’ACL

0,9 km : 5.Bastien Sylvain  7.Sarah Sicard  13.Laurie Sicard  14.Mathis Sylvain

2,1 km : 3.Alexis Houlès

Saint Jacques : 4. Lionel Gros  9.Bastien Amalric  13.Lionel Maffre  18.Éric Cambon  26.Cyrille Jacquemin  27.Anthony Valette  42.Jean Rascol  52.Dominique Tichit  63.Maria Jacquier  69.Hubert Taru  73.André Suc  74.Yolande Culié  85.Laurie Taru.

 

Semi-marathon de Toulouse

Excellente prestation de Mégane qui remporte la catégorie espoirs chez les filles lors du semi-marathon de Toulouse. Elle termine l’épreuve en 1h49 devant sa maman Marie-Odile 2h09 mais derrière son papa Françis 1h44. Bravo à la famille Gil.

Un autre licencié lacaunais a brillé ce jour-là il s’agit d’Emmanuel. En effet il améliore son temps de référence de plus de 5mn, il finit 363é/1494 arrivants en 1h40m. Félicitations.

Prochain objectif commun pour tous les quatre le marathon de Toulouse prévu le 25 Octobre prochain.

EKIDEN D’ALBI

Voici la compo des équipes de l’A.C.L:

 

 

 

5KM / 10KM / 5KM / 10KM / 5KM/ /7,5KM

 

Les gens bons crus:      Françis:Maria:Céline:Marie:Mélissande:Mégane

Les gens bons secs:      Véronique M:Sonia:Véronique C:Yolande:Christine:Laurie

Les gens bons blancs:  Yohann:Bastien:Hubert:Cyrille:Eric:Fabien

 

Bonne course aux gens bons de Lacaune. Rendez-vous le samedi 3 octobre 17h30 devant chez « Ricou ».

MARATHON DU MEDOC

Céline est rentrer dans la cour des grands. Samedi matin elle  a participé à son premier marathon, et non des moindre, celui du Médoc. Résistant à la tentation des ravitaillements gargantuesques et « vinicoles » elle trouva le parcours superbe, trés festif avec un public chaleureux. Bien jusqu’au 33éme kilomètre, elle a un peu souffert sur la fin mais sans trop, nous a-t-elle dit. Elle termine l’épreuve à la 935é place sur 8500 partants en 4h34m.

Bravo Céline félicitations prochaine étape « les 100km de Millau »….!

Céline avant le départ

Charcu’trail des « petits »

Petite rentrée pour nos jeunes à l’occasion de la course des charcu’trails, dimanche 6 septembre au stade de la Balmette. Dans la 1ére course réservée aux plus petits, chez les filles, 2ème place pour Laurie Sicard et la 4ème pour Ambre Vidal. Chez les garçons, Jonathan Antunès termine à la 5ème place. En catégorie poussines, 4ème Ysée Vergely et 5ème Sarah Sicard. Dans la 2ème course, seul Alexis Houlès présent chez les benjamins, termine à la 2ème place. Un grand bravo à tous les 6 pour leur présence à cette première compétition. Samedi 12 septembre, premier entraînement du club pour toutes les catégories. Les horaires restent identiques à ceux de l’an dernier: 10 h 00 à 12 h 00 au stade de la Balmette, avec possibilité de repli en cas de mauvais temps.

Par un dimanche de fin d’été au Montalet

Ce fut une bien belle édition, de bruyères en sous-bois, bien servie par un ciel d’azur. À l’arrière (c’est pas du baratin, mais du vécu), les coureurs (euses) parlaient beaucoup entre eux, signe qu’ils étaient, malgré l’âpreté et la longueur du charcu’trail, contents (heureux ?) Et un beau vainqueur (Benoît Galand) sympathique dès le retrait de son dossard. Les organisateurs, Cyrille Jacquemin et Éric Cambon en tête, ont su fédérer, innover, accueillir dans la tradition des Monts de Lacaune. Bravo à eux, à leurs nombreux aides de camp, et à tous les coureurs venus gambader sur « nos » sommets.

Ici Lacaune : le champion parle aux champions

Bienvenue dans les Monts de Lacaune

(Pour mémoire, je suis le candidat qui s’est incrusté à l’émission-jeu de France 3 « Questions pour un champion ». Si bien qu’au bout de cinq soirs, Julien Lepers, excédé, m’a dit : « Tiens, prends l’oseille et tire-toi ». Bingo : dans la cagnotte, des euros à la pelle (et même à l’appel puisque c’était le 18 juin [2015]). Ce jour-là, une star était née… En tout cas, depuis je sais ce que « selfie » veut dire, et j’ai dû apprendre à signer des autographes.)

Ce dimanche 6 septembre, je me fais une joie de vous côtoyer (même si je suis en retrait dans la course) entre sous-bois et bruyères, lors des 22 kilomètres (hors taxes) du charcu’trail. Et, à l’instar des autres membres du club local ou des bénévoles lambda, un devoir de vous accueillir dès le lever du soleil, puisque je suis l’un des préposés à l’inscription. Ces Monts de Lacaune, que nous aimons tant ici, sont synonymes de grands espaces, de sérénité, de traditions. Ce dimanche – dîtes-le autour de vous – nous n’avons qu’une ambition : vous faire partager ces émotions devant les Monts.

Vive le sport ; vive la compét’

Dimanche, c’est vous les champions !

Avec toute ma sympathie,

André, de Moulin-Mage                                

Luz-St-Sauveur (65) : Era virada deths caçaires

Une course réservée aux gros bras

Dimanche 9 août, la Virée des chasseurs ne manquait pas de relief : 1800 mètres pour 18 km. Quatre Lacaunais avaient mis cette première à leur programme. Et quelle brochette : Êric (Cambon) qui l’avait préparée méthodiquement ; son adjoint Alain (Valette) qui ne court plus que sur rendez-vous (parfois sur ordonnance) ; Cyrille (Jacquemin) un quasi-indigène ; André (Suc) le correspondant qui avait flairé là le scoop de l’année sinon de la décennie. Huit heures passées : deux heures avant le départ, nos quatre compères sont déjà dans le dur de l’échauffement : Ricou en tête, puis André (mais que fait-il avec ce big bag – gros sac en langue du pays), Cyrille avec un énorme sac à dos, et Alain. Tous ces athlètes suent déjà sang et eau. Entre, il y a Michel le maçon (peut-être un bénévole de l’organisation ?) et Céline (Bonal), une enfant du pays qui, selon toute vraisemblance, fait la randonnée, mais au taquet. Un peu plus haut, c’est la Hou Garouse, une cabane de berger perchée à 1700 mètres d’altitude. Enfin c’était, avant que, cet hiver, une avalanche ne la ratiboise. Depuis le point de départ (1100 m alt ?), Éric l’a atteinte en 40 minutes, les autres « athlètes » en 45.

Dès lors, il ne sera plus question de sport que par procuration : en devinant au loin les athlètes s’échiner sur la pente opposée. Michel le maçon était bien un signaleur, surtout pour l’hélicoptère qui effectuera 21 rotations depuis la « drop zone » (encore du patois local) afin d’amener du matériel de maçonnerie et le déposer aux abords de la cabane (copropriété de Céline et Michel). Avec ses pales, l’on verra des scènes qui décoiffent : Éric qui devient girouette, Alain qui débarde des sacs de ciment, ou Cyrille qui joue les haltérophiles avec d’énormes pierres que le souffle de l’avalanche a jetées en contrebas. Aux quatre vétérans lacaunais, cette course à Luz procura donc une avalanche… de bonnes sensations. Et garde un fort goût de revenez-y…

Quant à la course de Lacaune (passage cette année dans la charcuterie-musée Oberti), il est rappelé au lecteur que les inscriptions sont ouvertes sur ce même site (c’est facile). Et ainsi, le dimanche 6 septembre, les participants auront juste à retirer le dossard. Opération brève qui leur laissera tout le temps de bâtir… un bon échauffement.  Et qui sait de construire… leur future victoire (fût-ce sur eux-mêmes).

600 marches de La Salvetat

Cette course de 3,5km, organisé par l’office du tourisme de La Salvetat, est certainement la plus difficile de la saison. 3,5km c’est peu, mais quand tu y es tu te mets vite dans le « rouge ». Une bonne « sissantaine » de marches d’escaliers rendent l’épreuve titanesque. Les jeunes, plus rapide que les anciens, partent comme des boulets de canon, mais aprés un kilomètre, se font rattraper, voire dépasser pour terminer à bout de souffle. La feinte c’est de partir tranquille et de finir comme les jeunes lors du départ, c’est à dire comme un boulet.

Mardi soir 34 lacaunais étaient là (record battu) parmi les 79 partants (re-record battu). Beaucoup d’A.C.L iste, des footeux, des individuels. Mégane terminera 2éme féminine sauvant ainsi l’honneur de notre club, quant à Bastien, l’un des favoris de l’épreuve, il échoua au pied du podium.

Comme d’habitude un pique-nique bien sympa cloturera cette soirée qui restera pour tous un excellent moment de partage, de joie, et de bonne humeur. Merci à tous ceux qui ont participés et à l’an prochain. Ricou.

 

RESULTATS

 

La Gijounade à Vabre

  • Les Lacaunais jouent « placé »

          Canicule passée, sept Lacaunais avaient inscrit la course de Vabre au programme : un petit tour en village pour se montrer, puis la montée, progressive sur trois kilomètres, sur les crêtes d’outre-Gijou. Après deux ou trois km de plat (relatif), c’est  la redescente dans la vallée où, de 1911 à 1962, serpentait le Petit Train Castres-Murat.

    Lionel (Maffre), lui, a tiré tout droit. Son séjour (actif sur le GR 20) en altitude (pas le petit Montalet, le Monte Cinto, 2710 m) a porté ses fruits : il boucle les 11 km champêtres en moins de 50 minutes, soit à 5 minutes du duo de vainqueurs. Dans sa catégorie, la quatrième place n’est pourtant pas celle du dindon  : en vertu du non-cumul des récompenses (le 1er V1 – + de 40 ans – étant dans le tiercé « absolu »), il grimpe sur le podium. Éric (Cambon) avait l’opportunité unique de prendre la tête provisoire au classement général du challenge du Parc. Il lui fallait, pour cela, distancer Édouard (62 ans) de cinq places. Le contraire se produisit : Édouard faisant même intervenir sa tribu Meiler pour préserver sa domination. Désormais le boss devra se concentrer sur sa profession de pilier de bistrot (la course de Cuxac-Cabardès se déroulant lors des fêtes de Lacaune), ou d’organisateur (trail du Montalet du 6 septembre). Adieu lauriers, le patron va aller au charbon… Dans ce contexte plus relevé que d’ordinaire, Yohann (Girabancas) n’a pu tirer son épingle du jeu : il finit 31ème, juste derrière le président.

    La tradition populaire veut qu’un bouillon de poule (arrosé de vin rouge, soit le fameux « chabrot ») vaille une course de médecin. Sauf pour monter sur le podium : c’est le résultat auquel parvint Alain (Valette), 3ème de sa catégorie (V3, + de 60 ans), et 71ème au scratch. Il convient de préciser que le vice-président du club cible ses sorties : l’été à Vabre, l’hiver à Castres (Ronde givrée). Entre, c’est « pause au logis ». Mais pas toujours, si l’on regarde son bronzage bicycole. André (Suc) s’estimait ballonné : il aurait donc dû prendre son envol. Las, il fut loin des champions, avec sa 92ème place. Yolande (Culié), elle, ne s’estimait pas au top ni avant, ni pendant, ni après la course. Pourtant, elle signe, avec le 106ème temps général, la meilleure place de la colonie charcutière : 2ème V2 (+ de 50 ans). Tous ces athlètes se sont beaucoup donnés : ils ont fini claqués. Exception : Hubert (Taru). Lui, dès le 5ème km, a reconnu son muscle (mollet ?) au bruit qu’il a fait en partant : « clac ». D’ordinaire, avoir un temps d’avance est bénéfique. Pour Hubert le pionnier, il n’en fut rien : il figure au 129ème rang des 139 arrivants. Avec, dans ce contexte ingrat, la satisfaction d’avoir pu terminer l’épreuve. Qualifier l’organisation bien rodée autour de Christian et Annie Molinié ? Amicale, généreuse, et même festive pour Lionel qui prolongea le séjour.

    Désormais, pour les coureurs du cru, pointe à l’horizon le trail du Montalet. Avec l’ambition d’accueillir au mieux les visiteurs qui viendront gambader le dimanche 6 septembre dans les Monts de Lacaune.

  • Résultats

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